1. Soirée mondaine


    Datte: 03/04/2021, Catégories: fh, toilettes, Oral fsodo, Humour Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    ... je ne voyais pas trop comment aborder le sujet. D’ailleurs, on ne pouvait quasiment plus se parler ; un joueur de bongo avait pris l’appartement en otage. Des gens se trémoussaient çà et là, perdant biscuits et boucles d’oreille dans une déferlante ougandaise. Heureusement, le musicien amateur perdit un ongle lors d’une reprise de« I will show my calebasse » et il se précipita avec la maîtresse de maison dans la salle de bain pour en ressortir avec un pouce qui déclinait désormais toute invitation à la mélodie subtropicale.
    
    J’en profitai pour coincer Fancy entre quatre yeux.
    
    — Tu m’en as dit trop ou pas assez, lui dis-je en insistant sur les gutturales.
    — Quand ça ? Quand on a baisé ?
    — Mais on n’a pas baisé encore !
    — Avec toi ?
    — Non, avec toi.
    — Ah bon, j’avais cru.
    — Si tu y as cru, il faut le faire. C’est un signe qui ne trompe jamais.
    — Tu sais, moi, le cul…
    — Mais ça veut dire quoi à la fin : Tu sais, moi, le cul… ?
    — Bon, écoute, je ne suis pas née de la dernière pluie, je vois où tu veux en venir. Alors d’accord, mais tout de suite, ici, dans les chiottes.
    — Dans les chiottes à Mauricette ?
    — Ben oui, elles sont spacieuses, non ?
    — Bon, eh ben, tu y vas et je te rejoins ?
    — J’y vais. Après quatre minutes, tu frappes trois coups et tu entres.
    
    Il en fut fait selon ses désirs. J’entrai à la fois dans les chiottes et dans le cul de Fancy. C’est vrai que des chiottes comme ça, ce serait triste de n’y faire que déféquer. Une déco à la con, avec des ...
    ... cygnes, des faons et des oursons, mais une lumière fluo qu’on ne voit qu’au Musée Grévin. Un lavabo grand comme une vasque romano-orgiaque et des serviettes de toilette à foison, de toute couleur et de tout gabarit. Et puis alors, un tel espace qu’il paraît ridicule d’aller aux toilettes tout seul. D’ailleurs nous étions deux. De temps en temps, on entendait frapper à la porte, nous n’avons pas ouvert, mais on pouvait tenir à trois sans se marcher sur les pieds. Il y a vraiment des lieux d’aisance où l’on est à son aise.
    
    Fancy avait décidé de prendre les choses en main. C’est ainsi qu’elle commença à donner une fière allure à mon pénis. Une douceur dans le maniement que c’en était un régal. Une dextérité du bout des doigts qui faisait perler quelques gouttes prémonitoires. Ensuite, elle y mit la langue avec cette application qu’on trouve parfois chez les brebis Norfolk lorsqu’elles lèchent leurs nouveau-nés. Puis elle redressa fièrement sa chevelure auburn de mes burnes :
    
    — Tu vas me prendre, mais s’il te plaît, par derrière. C’est ainsi que j’honore mes amants d’un soir.
    — Pas de problème. Ça ne fait pas un pli.
    — Quoi ? Tu es au courant ? C’est Dorothéa qui…
    — Non, c’est une expression : ça veut dire que c’est comme si c’était fait.
    — 36 ou 37, qu’est-ce que ça peut faire d’ailleurs ?
    — Bien sûr. C’est moins grave que s’il manque un chromosome.
    
    Je la pénétrai délicatement, avec ce soupçon de rudesse qu’il convient toutefois pour qu’une sodomie reste un enculage. ...