La deuxième fois est toujours meilleure - Histoires de Sexe

La deuxième fois est toujours meilleure

... hanches, s’empalant en douceur sur la queue bandée.

Lentement, elle commença à soulever en rythme son bassin. Les parois de son vagin mordirent le sexe de Rémi, et Marion sentit le gland dur glisser en elle, lui arrachant un cri de plaisir à chaque fois qu’il touchait le fond de sa chatte. Rémi accompagnait délicatement les mouvements de Marion de petits coups de reins saccadés, tandis que ses mains jouaient avec les tétons de la jeune femme. Ces petites caresses et torsions multipliaient son plaisir et Marion frôla la jouissance suprême à plusieurs reprises, quand ses propres doigts s’aventuraient à toucher son clitoris.

Après quelques minutes, Rémi souleva délicatement Marion et lui chuchota à l’oreille :

— Accroupis-toi au bord du lit.

Celle-ci lui obéit instantanément, ravie de se laisser faire. Alors qu’elle voyait son amant se glisser derrière elle dans la lumière tamisée, Marion sursauta quand une petite claque sur ses fesses charnues vint la réveiller. Rémi reprenait les choses en mains :

— Lève les fesses… allez !

Marion sentit une légère honte à se soumettre de cette façon, mais celle-ci ne faisait que croître le sentiment d’abandon qui lui plaisait tant. Les fesses en l’air et les genoux écartés au maximum, Marion sentait que sa petite chatte entrouverte dégoulinait littéralement. Le phallus toujours ferme de Rémi pénétra Marion dans un bruit de succion. Tenant fermement les larges hanches de celle-ci, le jeune homme commença un va-et-vient sec, ...

... faisant cogner son gland avec force au fond du vagin lubrifié. D’abord surprise par tant de fougue, Marion se laissa aller à absorber les chocs, se concentrant seulement à bien laisser ses fesses en hauteur. De longs râles lui échappaient par moment, et sa cyprine coulait le long du préservatif de Rémi.

Alors que les à-coups se ralentissaient, Marion sentit les mains de Rémi lui écarter les deux fesses. Lâchant les hanches de la jeune fille, qui subissait d’autant plus les coups de boutoir du bassin de Rémi, celui-ci avait dégagé le petit trou rose de la jeune femme. Elle sentit dans un frisson un trop large pouce s’immiscer dans son fondement. Marion sentit son sphincter se contracter violemment, mais Rémi accentua sa pression jusqu’à ce que son doigt eut pénétré entièrement. De longues vagues de chaleur emplissaient le ventre de Marion, et elle vit la pièce se mettre à tourner autour d’elle. Un sexe lui labourant la chatte, un doigt dans l’anus, Marion vivait son premier orgasme.

Après un instant trop court, bien qu’il lui eut paru figer le temps, Marion s’effondra sans force sur son lit. Rémi se retira, et tout en conservant son érection en se masturbant, il commenta la situation :

— T’as l’air d’avoir aimé, mais moi j’ai pas fini !

Se tournant vers lui dans une ondulation sensuelle, Marion lui répondit :

— Oh, mon chéri, je n’ai jamais autant joui! Je suis prête à tout pour que tu prennes ton pied aussi !

Rémi se pencha pour l’embrasser avec fougue, avant ...