1. Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (5)


    Datte: 02/04/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: bobby29, Source: Xstory

    ... vais pas me laisser faire ! Il m’attrape par la taille, par derrière. Il me serre. Il me tient si fort ! Je lui donne des coups de pieds, j’essaie de nager de mes seuls bras pour me libérer de l’étau… Je lui donne des claques sur le torse, les bras… Rien à faire, il est plus fort ! Je me laisse aller, tout en continuant à me débattre plus mollement. Il me pousse. Nous atteignons le rocher. Il me plaque contre le marbre. Je m’agrippe à la plateforme. Je le sens dans mon dos. Il m’embrasse le cou, la nuque. Non, il me mord, il me dévore ! Hmm… J’aime ça ! Il est déchaîné. Ses mains passent sur mon ventre, agrippent mes seins. Il les écrase, les presse, les tord… Son bassin écrase mon postérieur. Je sens sa tige dressée… Il a trouvé une excroissance sous-marine du rocher où poser ses pieds. Il m’écrase contre la paroi. Sa verge s’insinue entre mes deux collines… Je sens les va-et-vient de son bassin. Mes fesses branlent sa longue, belle et jeune queue… Il aime mon cul. Il l’excite. Il le veut…
    
    Adonis. Je te sens contre moi. Autour de moi. Partout. Si fort, si puissant. Tes mains, tes bras…. Tu tiens mes seins, mon cou, mon ventre, mon dos, mes fesses, mon sexe... Mais c’est mon cul que tu veux. Je le sais. Je me laisse faire. Je me cambre. Je te l’offre… Tu parcours ma vallée… Je sens ton membre gonflé de désir pour moi, tendu, prêt à me prendre… Tu ...
    ... t’arrêtes parfois sur mon petit orifice… Il t’intrigue. Il t’appelle. Il t’attend… Viens. Viens. Oui. Tu sens que je réagis, que moi aussi je te veux, là… Tu hésites. Tu appuies. Doucement. Tu es soudain si tendre, si gentil… Tu m’écartes. Je te sens. Tu avances lentement. Je t’aide. Je sais… Tu ne me fais pas mal. Je sens ta belle queue en moi. Dans mon cul grand ouvert… Elle progresse. Je gémis, je me mords les lèvres. Ma main agrippe ta cuisse, je te pince, je te griffe…. Je te veux. Prends-moi, prends-moi le cul, tout mon cul, il est à toi !
    
    Adonis me prend. Il pilonne consciencieusement mon arrière-train. Sous l’eau. C’est prodigieux ! De l’eau s’insinue parfois en moi en même temps que son sexe. Ses mains malaxent mes seins, il mord ma nuque, je m’agrippe au rocher d’une main et je me touche de l’autre. Je tiens mon con, je le pénètre de mes doigts, je me fouille. Je crois sentir parfois sa bite à travers la fine paroi… Je jouis. Je crie. C’est si bon. Ça dure…. Les vagues de plaisir me parcourent. Il tient ! Il continue… Il m’encule. Je hurle. Il m’inonde, il se décharge, violemment. Contre mes fesses je sens ses coups de boutoir tendus, ses jets chauds dans mes entrailles. Je m’envole...
    
    Nous sommes nus, allongés sur le dos sur la pierre blanchâtre. Yeux fermés. Je tiens sa main.
    
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    Prochain chapitre : "Découvertes" 
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