Trixie Chap 11 - Du ciné oui mais porno !
Datte: 08/05/2018,
Catégories:
Hardcore,
Partouze / Groupe
Sexe Interracial
Auteur: Bea-Trixie, Source: xHamster
... noires me caresser la figure.
— Lèche-les, m’ordonna-t-il.
Je m’exécutai, donnant de petits coups de langue sur chaque boule, puis je les aspirais l’une après l’autre dans ma bouche, il grogna de plaisir. Puis il mit son phallus noir dans ma bouche. Il n’était pas gros et je l’avalais de suite entièrement. Il commença des va-et-vient, en me demandant parfois de lui mordiller le gland. Au bout de cinq minutes, je sentis sa verge qui commençait à avoir des contractions. Il l’enfila dans ma gorge jusqu’à sa toison bouclée et éjacula à grand trait dans ma bouche :
— Avale Salope, avale le sperme du nain… Aaaaaaahhhhh, Aaaaahhh, c’est bon ! Tu aimes les nains noirs, on dirait… Lèche bien ma bite, aspire bien tout mon sperme…
Il s’éloigna fouilla sur les étagères et revint avec en main un énorme et très long phallus violet.
— Regarde ce que j’ai trouvé dans un casier. J’ai joui, je vais te rendre la monnaie de la pièce me dit-il en souriant, je vais te faire jouir…
Il me montra l’énorme engin, d’un diamètre énorme et orné de protubérances et de toutes petites cornes. Je vis qu’elles étaient flexibles lorsqu’ avec un rictus pervers, il en caressa la longueur. Il enfila le godemiché sur son sexe et l’attacha fermement autour de sa taille. D’un geste brusque, il arracha le string qui était saturé de mon foutre. A genoux devant moi, il guida le phallus diabolique vers le bas de ma fente, puis lentement le remonta jusqu’à l’orifice vaginal qu’il pénétra légèrement. ...
... Il recommença l’opération, plusieurs fois, chaque fois que le gland de l’engin arrivait à l’entrée de mon méat, je donnai un coup de reins en avant pour essayer de le faire pénétrer plus avant. Je gémissais de frustration. Puis il me pénétra doucement, je criais de délice et de souffrance, la grosseur de l’engin et les cornes me griffaient les parois vaginales. L’extase et la douleur se mélangeaient délicieusement. J’étais une victime offerte aux ravages de cette protubérance monstrueuse. Je repensais aux futurs spectateurs et écartais les cuisses en poussant des cris de satisfaction :
— Ah ! Tu aimes ?
Il enfonça d’un violent coup de reins l’objet au fond de mon vagin. Je hurlai en me cambrant, cela me fit délicieusement mal. Chaque allée et venue ouvraient davantage le tréfonds de mes entrailles. Lorsqu’il eut tout enfilé, ses poils crépus et rêches étaient autant de caresses sur mon bas-ventre.
— Aaaaahhh, oui, oui ! Encore, encore, n’arrête pas ! hurlais-je.
J’avais honte que ce nabot puisse m’exciter autant et me demandais ce que Maxime pouvais penser de moi. Mais je tombai dans la luxure, je n’étais plus qu’un sexe qu’il fallait remplir. Les va-et-vient du monstrueux phallus s’accéléraient, mes râles se mêlaient aux halètements du nain. Puis je me laissai déborder par les premières vagues de jouissance, et ce fut ensuite l’orgasme qui déferla sur mon corps. Je me cambrai en hurlant et le nain fut rejeté en arrière par la v******e de mon spasme.
— Putain ! ...