Qualifications : 3 soirées plaisantes - Histoires de Sexe

Qualifications : 3 soirées plaisantes

... tous durs, à vrai dire, je suis excitée toute entière. Visiblement toi aussi.

Sa main sur ma braguette se fit plus pressante et cherchait à l’ouvrir.

— Martine, nous ne sommes pas seuls…
— Je sais mais j’ai envie, tu sais.
— On peut peut-être trouver un coin plus calme.
— D’accord, on sort.

Nous sommes donc sortis, main dans la main et nous nous sommes dirigés vers un parc jouxtant le complexe aquatique, il y avait des terrains de sport ainsi que d’autres coins plus sombres. C’est donc tout naturellement que nous nous sommes dirigés vers un bosquet. Nous y avons repris nos caresses, debout cette fois-ci. Pour le coup, nous étions enlacés, la poitrine de Martine écrasée contre mon torse. Ses mains sur mes hanches et mes fesses voulaient rapprocher encore plus mon bas-ventre contre elle. J’ai enfin pu poser mes mains sur sa jupe pour ensuite la faire remonter et découvrir sous mes mains sa petite culotte. Martine roucoulait doucement et lorsque j’ai mis ma main entre ses fesses pour descendre vers son sexe, elle s’est mise à gémir. J’appuyais plus fort et sentais sa fente à travers l’étoffe.

— Oh, c’est bon, tu es doux, tu sens comme je suis excitée ?
— Oui, ton slip est tout humide sous mes doigts.
— Je me sens revivre sous tes caresses, attends, laisse-moi te libérer, tu dois être à l’étroit.
— Tu ne crois pas si bien dire.

Martine s’est accroupie et a baissé mon pantalon et le slip qui allait avec. Libéré de son carcan, mon sexe s’est épanoui devant ...

... Martine.

— C’eut été dommage de laisser un si beau sexe confiné.

Aussitôt, ses mains vinrent flatter tantôt toute la longueur tantôt les bourses. Martine semblait apprécier la taille de mon sexe et ses mains me procuraient un bien fou. Cependant, je sentais une appréhension en elle, je l’ai donc relevée et c’est moi qui me suis mis à descendre sa jupe qui a vite fini à ses pieds. Je me suis mis ensuite baissé et j’ai caressé ses jambes, fines et bien faites. Je me suis mis à caresser son ventre sous son haut et son pubis puis j’ai agrippé sa culotte que j’ai fait descendre lentement jusqu’au sol. Sa toison m’est alors apparue : sombre et relativement fournie mais visiblement entretenue, légèrement excitée. J’ai relevé ma tête en souriant, et de mes mains je l’ai aidée à enlever sa culotte et à enjamber sa jupe pour pouvoir ouvrir ses jambes. Puis j’ai continué à la caresser, attendant une invitation de sa part. Ses mains sont venues derrière ma tête, comme pour m’indiquer son accord.

— Viens me manger si tel est ton souhait, fais-moi du bien et tant pis pour les scrupules.

Sans faire cas de ses doutes subsistants, je ne me suis pas fait prier et j’ai plaqué ma bouche contre son pubis et déposé quelques baisers sur sa touffe bouclée. Je suis ensuite descendu plus bas, à la commissure des lèvres intimes et ma langue a vite débusqué le clitoris. Martine lâchait des râles de contentement mais ma posture n’était pas des plus pratique, alors je l’ai fait se tourner afin ...