1. LE MARI PARFAIT


    Datte: 08/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Tamalou, Source: Hds

    ... vêtements que je ne mettais plus, trop serrés et trop courts, sans rien dessous, ni culotte ni soutien-gorge. Je me suis regardée dans le miroir et j'y ai vu une radasse prête à faire le trottoir. Je suis allée dans un centre commercial de l'autre côté de la ville, où je ne connaissais personne. Quand je suis arrivée au centre commercial, je me suis garée et j'ai joué avec ma chatte pendant un moment, mouillant le siège, essayant de me convaincre d'entrer vêtue en salope.
    
    Finalement, après une profonde inspiration, j'ai eu assez de courage pour sortir de la voiture. Alors que je me dirigeais vers l'entrée du centre commercial, j'ai remarqué plusieurs hommes qui me dévisageaient en souriant. Mes tétons durcissais en frôlant le fin tissu du maillot. J'ai commencé à aimer les sensations que mon exhibitionnisme créait en moi, et j'ai rendu leurs sourires aux hommes. À l'intérieur du centre commercial, dans l'air climatisé, mes tétons turgescents semblaient vouloir crever le fin tissu du maillot. J'ai admiré mon reflet dans l'une des vitrines du magasin, et j'y ai vu une salope sexy très chaude. Souriante, je suis entrée dans un magasin de chaussures et je me suis assise sur l'une des chaises. Un jeune employé est venu et m'a souri en s'installant face à moi.
    
    "Avez-vous vu un modèle en particulier, madame?" Il m'a demandé.
    
    "Hum ..." dis-je en croisant et décroisant mes jambes, forçant ma jupe à remonter sur mes cuisses,
    
    "Je vais essayer une paire d'escarpins noirs, ...
    ... pointure 39." Il jeta un coup d’œil à mon entrejambe, puis leva les yeux vers moi. Je lui souris d'un air complice, lui faisant savoir que j'avais vu où il avait regardé, et son visage devint cramoisi. "Je ... je reviens tout de suite," balbutia-t-il, partant rapidement. Je remarquai quelques autres employés qui me dévisageaient, et je leur souris aussi, étirant mes bras au-dessus de ma tête, me cambrant, forçant mes tétons durs et mes seins fermes. Le jeune homme revint et s'assit de nouveau devant moi. Je décroisais mes jambes, écartant légèrement les cuisses, et je levais mon pied vers lui, lui laissant voir ma chatte nue. Pendant un instant, il oublia ce qu'il était censé faire, et regarda fixement ma chatte. Puis il sembla sortir de la transe dans laquelle il se trouvait et me prit le pied dans la main pour m'aider à le glisser la chaussure. Je tendais ma jambe devant moi, faisant des rotations pour regarder l'effet qu'elle produisait. "Hum ... je ne sais pas," dis-je, le regardant du coin de l'œil, remarquant son regard rivé sur ma chatte.
    
    "Qu'en pensez-vous, jeune homme?" J'ai demandé, puis ajoutant, espiègle "Heu … la chaussure, je veux dire ... pas ma chatte!" Il rougit si violemment que je crus qu'il allait prendre feu.
    
    "Que … je ... oh mon dieu, je suis ... désolé, madame ... je ..."
    
    "C'est bon," dis-je. «tu es joli garçon, tu regardes ce que tu veux, ça ne me dérange pas, pourquoi crois-tu que je ne porte pas de culotte?"
    
    "Vraiment ... ça ne vous embête ...
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