1. Toutes les femmes s'appellent Marie : Weekend en club


    Datte: 30/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... cran. La femme enlève aussitôt sa tunique sous laquelle elle est nue et se colle à Marie.
    
    Ce n’est plus de la danse ! Les deux tribades font littéralement l’amour sous nos yeux ! Le DJ joue aussi avec les lumières lorsque les deux gouines se couchent dans un soixante neuf torride. L’homme au premier rang gicle par terre. Ses grognements sont couverts par la musique. Les deux femmes deviennent électriques. Marie n’est pas la dernière pour lécher et caresser sa partenaire. Toute la salle a maintenant les yeux rivés sur les deux tribades. Il faut dire que le spectacle est superbe ! A son habitude, Marie manifeste bruyamment quand sa bouche se décolle des lèvres intimes de la barmaid. Leurs doigts s’agitent dans les orifices qui se présentent sans distinction. D’un coup Marie jouit sous les caresses de l’autre femme qui la suit de quelques secondes.
    
    Dans la salle des applaudissements saluent la prouesse des deux salopes qui ont lancé divinement la soirée, avant que chacun ne reprenne ses occupations. Un peu hébétée, Marie se lève, récupère sa robe, cherche son string qui a disparu. C’est l’homme du premier rang qui l’a subtilisé. Elle revient vers moi et s’effondre sur la banquette à mes côtés. La barmaid qui passe près de nous, se penche sur elle et dépose un baiser sur ses lèvres.
    
    « Tu dois me trouver perverse, mais j’aime aussi les femmes ! Je n’ai pas eu le temps de te le dire avant.
    
    Ne t’en fais pas ! J’ai d’abord adoré, comme tout le monde ici, te voir faire ...
    ... l’amour sur scène. C’était très beau et puis rassure-toi. Je n’ai pas peur non plus de sucer une belle bite ou un beau cul !
    
    Eh bien toi ! Tu n’es même pas jaloux que j’aie trouvé une autre partenaire ?
    
    Si je t’ai amenée ici c’est que je suis aussi libertin que toi et que je ne comptais pas te garder pour moi seul. Je dois te dire que je t’ai trouvée très belle quand tu dansais à la barre et avec cette femme. Je bandais comme un fou, comme je crois tous les hommes dans la salle. Et je ne parle pas des femmes !
    
    C’est vrai ? Tout le monde me regardait ? J’ai honte !
    
    Tu ne dois pas ! Demande à l’homme qui a jouit et a piqué ton string.
    
    Quoi ? Lequel ? Il va me le rendre !
    
    Il n’est plus là. Franchement tu n’en a plus besoin. Je t’en offrirai d’autre, si tu y tiens.
    
    Et toi ? Tu n’as pas joui ?
    
    Non ! Je me réserve pour la suite.
    
    Attends ! Je veux que tu profites aussi»
    
    Toujours nue, Marie se jette entre mes jambes, défait et enlève mon pantalon. Quand je suis nu, elle plonge sur ma queue dressée et l’avale goulument. A genoux ainsi elle est magnifique. Sa croupe se détache et attire l’œil.
    
    Un homme s’approche. D’un signe il me demande mon accord et s’agenouille derrière Marie. Commence à la caresser, à la lécher. Elle a bien tenté de se redresser pour voir qui était sur elle, mais j’ai maintenu sa tête et elle a repris son ouvrage.
    
    Quand son cavalier s’apprête à la pénétrer, je lui fais signe de se couvrir, ce qu’il fait aussitôt. Un nouveau sursaut ...
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