1. Pouilleuse déshabilleuse


    Datte: 29/03/2021, Catégories: Hardcore, Inceste / Tabou Partouze / Groupe Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    Quand j’étais gamine, j’aimais jouer au docteur avec des garçons de mon âge, mais aussi avec des filles. C’était un bon prétexte pour me mettre toute nue devant eux et me faire toucher.
    
    Mais j’aimais bien jouer aussi au papa et à la maman, car dans ce cas on était deux à se déshabiller, puis on se couchait sous des draps et on se tripotait en s’embrassant sur la bouche.
    
    On faisait ça dans les caves des immeubles de la cité où j’ai grandi, ou bien dans nos chambres, en l’absence de nos parents.
    
    Mais il arrive un âge où l’on ne joue plus à ce genre de jeu. Il faut alors en trouver des nouveaux grâce auxquels on peut continuer de se mettre tout nu devant les autres et de se faire tripoter.
    
    Puisque c’était le but, au fond.
    
    En tout cas, c’était le mien : montrer mon corps et me faire toucher.
    
    Le passage de l’école primaire au collège n’y a rien changé. Ni celui du collège au lycée. Mon besoin de me faire tripoter par des garçons et des filles ne s’épuisait pas. Il a seulement fallu trouver de nouveaux jeux.
    
    Et parmi eux, mon préféré fut le pouilleux déshabilleur.
    
    J’aimais les cartes maudites ; celles qui impliquaient qu’un membre du jeu enlève un vêtement. J’aimais enlever les miens devant tout le monde, mais j’aimais aussi voir des autres ôter les leurs. Filles ou garçons, peu importait. J’ai toujours raffolé de nudité.
    
    Pour ma part, j’aimais le moment où je devais dégrafer mon soutien-gorge et montrer mes seins, mais pas autant que celui où je ...
    ... baissais ma culotte. J’ai toujours aimé montrer ma chatte et mes fesses, depuis mon plus jeune âge. Surtout grâce à des jeux qui comprenaient plusieurs personnes. Sans distinction de sexe.
    
    Je suis gouine depuis l’âge de sept ans.
    
    Et j’aime les bites.
    
    Le premier avantage du pouilleux déshabilleur, c’est qu’on peut y jouer jusqu’à l’âge adulte, c’est-à-dire pendant longtemps. Pendant toute la vie, si l’on a envie. A condition de trouver des partenaires. Mais je n’ai jamais eu de mal à en trouver. Depuis le collège, ils n’ont jamais manqué.
    
    Le deuxième avantage du pouilleux, c’est qu’il permet de continuer à inventer des gages une fois que chacun des participants est tout nu.
    
    Sucer une bite, par exemple.
    
    Ou bien une chatte.
    
    Se faire pénétrer par tous les membres masculins du jeu, tour à tour.
    
    Se faire sodomiser pendant qu’on lèche une chatte.
    
    Etc.
    
    J’y ai joué au collège, au lycée, à la fac, puis plus tard.
    
    J’avais douze ans et demi la première fois qu’un gage a impliqué que je me fasse pénétrer par une bite. Nous étions quatre sur cette partie. Le garçon qui m’a dépucelée avait deux ans de plus que moi.
    
    Mais il est aussi arrivé que je me fasse pénétrer par des plus jeunes. Une fois, c’était un garçon de quatorze ans. J’en avais dix-sept. Sa grande sœur était là et elle était toute nue. Plus tard dans la soirée, un gage a demandé à son frère de lui lécher la chatte.
    
    A la fac, il est arrivé plusieurs fois que des profs se retrouvent impliqués dans ...
«12»