1. Le mariage de Nina (1)


    Datte: 08/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    ... avait rempli la pièce. Et ce silence m’a fait prendre conscience que derrière cette porte, il y avait de la musique, de la fête, des gens, et qu’on pouvait être surpris à tout moment.
    
    Karine a été la première à jouir. Les talents de Nina étaient sans limite. Ma cavalière s’est agrippée aux fesses de son amante d’une nuit, et a poussé un petit cri aigu, si excitant que je me suis senti partir à mon tour. Il a fallu cependant que je redouble d’effort pour me retirer de l’anus de Nina avant d’éjaculer abondamment sur son derrière, grognant comme un animal. J’ai regardé mon sperme couler dans sa raie, sur son orifice encore entrouvert, puis ses lèvres, et les lèvres de Karine. Gourmande, celle-ci ne s’est pas faite prier et est allée chercher mon jus du bout de sa langue. Et voilà ce qui a fait chavirer Nina une minute plus tard. J’avais vu Nina jouir des centaines de fois, mais c’était à chaque fois un spectacle extraordinaire. Le corps tendu, cambré, elle a poussé un cri aussi doux qu’animal, l’essence même du plaisir. Puis elle s’est écroulée sur Karine, le souffle court.
    
    Les deux minutes qui ont suivi étaient incroyablement calmes. Même les bruits à l’extérieur avaient l’air de s’être calmés. Il n’y avait que nous trois, et nos respirations désordonnées. Puis il y a eu des sanglots, et j’ai tout de suite compris qu’il s’agissait de Nina. Je me suis précipité sur elle pour la prendre dans mes bras, mon cœur a failli s’arrêter lorsque j’ai vu les larmes couler sur ses ...
    ... joues.
    
    — Qu’est-ce qui se passe ? lui ai-je demandé en essayant de rester le plus calme possible.
    
    — Je crois que je fais une connerie, a répondu Nina entre deux sanglots. Ce mariage, tout ça... J’ai peur de faire une connerie.
    
    — Mais non, pas du tout ! C’est une belle chose que tu vis, au contraire !
    
    Karine, entre temps, s’était extirpée de sous Nina, et nous a rejoint pour un câlin collectif. Puis elle a ajouté :
    
    — Je... Désolé, on ne se connaît que depuis quelques heures, alors je ne sais pas ce que vaut mon conseil. Mais je vous ai vus, avec ton mari, et ce mariage n’est pas une connerie, c’était très beau à voir. Tu dois t’accrocher à ce pourquoi tu as dis oui quand il t’a demandée en fiançailles, ce pourquoi tu as organisé toute cette journée, et ce pourquoi tu as dit oui au maire tout à l’heure. Tu n’as pas dit oui comme ça, au hasard. Il faut que tu t’accroches à ça. Je vous ai aussi vus avec Marc. Vous êtes... spéciaux. L’un pour l’autre, je veux dire. Je ne te conseille pas l’adultère, bien que tu fasses ce que tu veux, mais quand ça n’ira pas, quand tu auras des doutes, je suis sûr que Marc sera là pour toi, quoi qu’il arrive.
    
    Un silence s’est à nouveau créé. Personne ne savait plus quoi dire, tant les mots de Karine étaient juste.
    
    — Euh, désolé, j’aime beaucoup la psychologie de comptoir...
    
    — Non, non, a répondu Nina, t’excuses pas. Au contraire, merci beaucoup. A vous deux.
    
    Nina nous a tous les deux pris dans les bras, sourire aux lèvres. ...
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