La mission de Kate (1)
Datte: 29/03/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: roxo91, Source: Xstory
... et extrêmes afin d’entrer dans un réseau de trafiquants d’armes, de drogues et d’esclaves sexuelles. Elle devait entrer dans ce réseau pour pouvoir introduire dans le système informatique un malware et c’était plus facile de lui enseigner les « bonnes pratiques sexuelles » que d’enseigner le codage informatique à une experte du sexe. La voilà donc enfermée dans une chambre.
Pour cacher sa nudité, elle prit le drap de soie et l’enroula sur son corps. Elle retourna dans la salle de bain. Elle fit couler l’eau de la douche, laissa la vapeur d’eau envahir la petite pièce, et entra dans la douche en laissant tomber le drap par terre. Elle prit plaisir à laisser l’eau chaude caresser son corps. Elle fut tirée de ses rêveries par le son de la porte qui s’ouvrit. Elle resta pétrifiée, aux aguets. Elle entendit des bruits de pas. Ceux-ci entrèrent dans la chambre, puis repartirent. La porte se referma et elle entendit le verrou tourner. Elle souffla, remarquant au passage qu’elle avait arrêté de respirer pendant ce bref moment.
Toute ruisselante, elle sortit de la douche pour se diriger vers sa chambre. Elle remarqua tout de suite ce que l’on avait déposé pour elle. Une boîte contenant cinq objets et une lettre. Elle déplia la lettre. Celle-ci disait
— Tu disposes de deux genouillères, de deux coudières et d’un bandeau pour les yeux. Enfile le tout et crie pour dire quand tu es prête pour la suite. Ne me fais surtout pas attendre.
Elle se demanda un court instant si ...
... elle devait obéir, mais les recommandations de Vincent étaient claires. Elle mit ces équipements, d’abord les étranges genouillères puis les coudières. Clairement, ces protections furent modifiées pour une autre utilisation que celle destinée. Elle se mit debout, droite, mit le bandeau sur ses yeux et, dans le noir, cria « je suis prête ». Elle attendit, scrutant le moindre bruit.
Après quelques instants interminables, les bruits de pas revinrent. Elle resta immobile, voulant montrer à son tortionnaire son calme et son sang-froid, mais elle sentait monter en elle une crispation, une inquiétude mêlée, à sa grande surprise, à une petite excitation de l’inconnu. Elle entendit la porte s’ouvrir.
— Bien, ma petite chienne, tu es bien obéissante
La voix, entrecoupée d’inspirations rauques, fit parcourir sur sa peau un frisson de dégoût, mais elle resta droite et imperturbable. Elle sentit la présence du gros porc près d’elle, elle pouvait sentir sur son corps le regard pervers. Elle ne sursauta pas quand une main lui prit le bras.
Il installa quelque chose sur ses coudières ; elle entendit des tintements métalliques et ses bras étaient manipulés. Il lui lia les bras et, comme une laisse la tira à le suivre alors qu’il quitta la pièce. Elle se laissa guider, quasiment aveugle avec le bandeau sur les yeux. Des portes furent ouvertes, des escaliers gravis, des couloirs traversés.
Il l’immobilisa enfin. Il lui ouvrit la bouche pour y mettre une sorte de tuyau.
— Vas-y, ...