Mon rendez-vous chez mon avocat
Datte: 28/03/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
Collègues / Travail
voiture,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
occasion,
Auteur: Alain C, Source: Revebebe
... j’ai dévoré des yeux sa petite dentelle sous sa petite jupe ? Je reste interdit. Ses moindres gestes sont rivés à mes yeux. Mon rêve prend le dessus sur la réalité.
Je la vois, elle esquisse un sourire. Soudain, ses mains descendent jusqu’à sa jupe et, d’un mouvement vif, se glissent dessous pour ressortir aussitôt, entraînant le mince bout de tissu ce qui aussitôt captive mon regard. Lentement, elle le glisse jusqu’à ses genoux et le laisse continuer sa course le long de ses fins mollets avant de s’arrêter sur ses petites chevilles qui surmontent de jolis escarpins noirs.
D’un geste preste elle dégage un pied, et de l’autre fait tournoyer cette fine dentelle. Un coup ! Et le mince voile de tissu blanc file à travers la pièce pour atterrir à deux mètres à droite de ma place. J’ai chaud. Sans un mot, elle écarte ses cuisses pour que je profite du spectacle que ses doigts m’offrent. Une vue imprenable sur son con, complètement offert !
Face à un tel spectacle, je ne peux résister. Son regard pénétrant, son sourire à la fois innocent et satisfait. Elle sait ! Et elle se régale la salope. L’air est électrique et empreint de sensualité !
Je me concentre sur le sujet qui fait que je suis là aujourd’hui, assis sur cette chaise, déviant par la même occasion mon regard, mais rien n’y fait, je sens le sien. Insistant et tentant. J’ai beau insister, le seul spectacle qui s’inscrit dans mon esprit est le sexe de la femme face à moi, trempé et largement ouvert. À nouveau, ...
... je jette un œil, incapable de résister. Le tableau qui s’offre à moi est impensable. Une secrétaire modèle absorbée sur son ordinateur, mais en dessous, les cuisses largement écartées, le bassin ondulant en arrière. C’est une vraie débauche sexuelle que je découvre et qui enflamme mon bas-ventre.
La garce enfile à présent son doigt dans son minou. Ressort et replonge à nouveau, laissant apparaître à chaque pénétration un mince filet de mouille qui s’écoule de son antre. Je relève la tête et croise son regard. Il est couronné d’un sourire espiègle et d’un regard soutenu semblant me dire : «La balle et dans ton camp mon chéri ».
Soudain, une sonnerie se fait entendre dans mon cerveau arrêtant court ma rêverie. Je m’aperçois brusquement que tout cela n’est qu’illusion, que la secrétaire est sagement derrière son bureau. Pour attester s’il s’en faut les quelques doutes qui persistent encore, mes yeux se portent à l’endroit où doit se trouver normalement la petite culotte, mais il n’y a rien. «Mon pauvre Alain »
À la deuxième sonnerie, la secrétaire se met aussitôt à gigoter. Elle décroche le combiné de téléphone et je l’entends dire.
— Oui !
La conversation fut brève et la femme repose l’appareil sur son socle. Un homme de taille moyenne pénètre quelques instants plus tard dans le bureau, et me serre chaleureusement la main.
— Je suis désolé de vous avoir fait attendre ! Vous ne vous êtes pas trop ennuyé ? Voulez-vous bien me suivre, s’il vous plaît.
Il me ...