1. Le gamin du pensionnat


    Datte: 28/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Auteur: charime, Source: xHamster

    ... son travail, cela devrait nous faciliter la tâche.
    
    - Alors appelle sans tarder.
    
    Alors que ma mère jouit, je lui donne tout de mon encore jeune être. Elle va jouir bien des fois avant je ne m’achève dans son corps, incapable de lui en donner davantage.
    
    Dès l’aube, mon père rentre, ne trouve rien, aucune trace des plaisirs vécus. Comme j’ai laissé mon lit à sœur Clothilde, je dors sur le canapé, donc mal. J’entends mon père vaquer dans l’appartement. Puis, dans le salon, il écrit une longue lettre sans voir que je l’observe d’un œil. Après son départ, je m’assure déjà qu’il est bien loin de la maison et, seulement en suite, je vais lire sa missive. Ce que je lis me fait presque vomir. Mon père n’est qu’un monstre encore plus pervers que toutes mes nonnes réunies. C’est aussi un sadique de la pire espèce puisque qu’il confesse avoir battu des enfants alors qu’il était diacre dans une paroisse. Sans oublier qu’il en profitait pour se faire jouir par eux, filles et garçons, sans autre considération que son seul plaisir, Grand dieu, c’est exactement ce que me disait ma mère et c’est à peine si je l’ai crue. Il me faut réveiller ma mère, ma nonne de cousine, leur montrer cet immonde lettre. Cependant, si je ne l’ai tenue entre mes doigts, je la prends maintenant avec une pince. Ben oui, je réfléchis divorce vu qu’il semblerait que mon père va se rendre à la justice des hommes d’après son écrit. Il me faudra remercier ce prêtre, il fut d’une aide inestimable.
    
    Devant la ...
    ... lettre, au téléphone, sœur Clothilde la lit à la mère sup. Aussitôt après, ma mère file en faire une copie. C’est ensemble que nous allons trouver une avocate pour mettre en route cette longue procédure, celle du divorce. Mais devant la lettre, la confirmation que mon père est bel et bien en cellule sous les accusations de pédophilie, de v******e sur mineurs et j’en oublie, la procédure n’en sera que plus courte. Deux semaines suffisent pour que ma mère fasse ses valises et quitte cet appartement en abandonnant notre passé. Dans un taxi, nous gagnons la gare où nous attend sœur Clothilde. Dans notre compartiment, après le contrôle des billets, les rideaux sont tirés.
    
    Sur les sièges couchette, la nonne et moi couchons ma mère enfin libre de jouir de son corps à sa guise. Nous la baisons jusqu’à qu’elle nous supplie de la laisser mourir de plaisir. Puis, pouvant encore avoir une belle et dernière érection, je fais jouir ma nouvelle amie adorée, ma nonne de cousine. Du train, nous passons au car, ce vieux car postal qui nous conduit jusqu’au terme de notre voyage de retour, le pensionnat. Une fois en ses murs, ma mère est immédiatement prise à part pour revêtir son dernier habit, celui de nonne esclave. Moi et sœur Clothilde, nous nous retrouvons dans le bureau de la mère sup, une novice, oh, une nouvelle, entre ses cuisses, cul nu qui suce son chibre, lèche sa chatte.
    
    - Tu peux, mon fils, si tu le désires, enculer cette petite. Là, elle me suce la bite, elle n’en oublie pas ...
«12...4567»