1. C'est ça aussi les vacances (1)


    Datte: 26/03/2021, Catégories: Gay Auteur: fatout, Source: Xstory

    Nous sommes depuis 10 jours au Cap et aujourd’hui, pour une fois, il pleut ; impossible d’aller au sauna, il y a la queue sur 20 m devant la porte et nous n’aimons pas l’empilage. Ma petite femme me propose alors de me faire masser pendant qu’elle fera quelques courses ; très bonne idée, d’autant plus que les galipettes sur le sable n’ont pas été très appréciées par mon dos ; le rendez-vous est pris pour 18h.
    
    Un peu en avance, je sonne et la porte s’ouvre sur un petit salon d’attente, puis après 10 minutes d’attente, un homme, chemisette et short blanc me reçoit. Un rapide coup d’œil me permet de voir qu’il est bel homme, un sourire accueillant ; j’aurais sans doute préféré une jolie femme, mais tant pis, à défaut, mon dos va en profiter. Après avoir quitté mes vêtements (vite fait, car en short et polo sans sous-vêtement) il me demande de m’étendre à plat ventre et il pose une serviette sur mon bassin ; une douce musique, des mains délicates et douces m’amènent à une légère somnolence ; ses mains courent sur mon dos, mes épaules, mon cou avant de redescendre vers mes reins, avant de s’emparer de mes jambes ; le massage est efficace et très agréable et je me détends, écartant mes cuisses pour favoriser le massage.
    
    Ses mains parcourent ensuite mon entrejambe, frôlant parfois mon sillon ; la serviette a glissé et ses doigts s’emparent de mes fesses, glissant de plus en plus souvent le long de mon sillon ; c’est agréable, je suis bi et j’aime les caresses sur mon petit ...
    ... trou. Et j’avoue que sous moi, ma tige commence à prendre du volume ; alors qu’un doigt vient un peu plus près de mon anus et effectue un petit cercle très appuyé autour, je ne peux retenir un mouvement de mon bassin, accompagné d’un petit gémissement. Il se retire aussitôt en me demandant s’il m’avait fait mal ; le fixant, je le rassure, en lui disant que bien au contraire, j’avais beaucoup aimé.
    
    Ses mains maintenant ont envahi mon entrecuisse, et m’écartant largement les cuisses, ses doigts me caressent, sollicitent mon anneau, avant qu’un doigt vienne légèrement le perforer ; ma réaction est immédiate, et je me cambre pour qu’il s’enfonce un peu plus, mais à mon grand regret, il se retire, et il me demande de me mettre sur le dos, relevant la têtière. C’est un phallus bien tendu qui bat sur mon ventre, et il a un petit sourire. Ses mains maintenant courent sur mon ventre et effleurent sans doute très consciemment le sexe tendu ; « vous aimez ? » Pris par mes envies, je ne réponds pas aussitôt, et il s’en écarte ; c’est moi qui lui prends la main et la dépose sur ma queue qui palpite d’envie.
    
    — Oui j’aime, continuez !
    
    Cette fois, il me caresse la tige, descendant vers mes boules qu’il triture ; mon plaisir monte et je ne peux retenir mes gémissements ; il a compris mon envie ; me faisant mettre le pied sur la table, ce qui - je le sais - lui découvre mon sillon ; alors qu’une main s’empare de mon vit et le branle, l’autre main, s’engage entre mes cuisses et à nouveau ...
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