1. Emilie et Tamara, Suite


    Datte: 26/03/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: DMN, Source: Hds

    ... spectacle. Le moins que l’on puisse dire, c’est que Léa sait de mieux en mieux y faire, et que les fesses d’Emilie sont plus souvent rouges et chaudes que blanche et froides.
    
    Du coin de l’œil, je surveille très discrètement Emilie. J’ai beau savoir qu’elle aime ça, je suis à chaque fois surpris de son attrait pour la fessée. Tandis qu’elle s’admire recevant une raclée à la spatule, je me lève et vais chercher le monogant, les godes et le bâillon boule. J’ai dans l’idée qu’elle va apprécier le programme de la soirée.
    
    Je viens me rassoir à côté d’elle et pose le monogant sur ses cuisses. Elle regarde sans comprendre ce que c’est. Elle s’est changée en rentrant, un vieux short un peu serré et un petit top qui a bien vécu. Une tenue qui ne craint plus grand-chose et qui est donc parfaite pour ce que j’ai en tête.
    
    J’écarte l’ordi et fais lever la miss, je prends ses bras et les glisse délicatement dans l’accessoire avant de refermer les sangles. C’est à ce moment qu’elle comprend que la soirée va être longue mais pas forcément désagréable. Je lui dis que depuis son arrivée, je n’ai pu profiter que de sa bouche mais absolument pas du reste. De plus, celle-ci n’a pas été vraiment punie par Tamara puisque cette dernière a été des plus clémentes. Avant d’aller plus loin, je lui demande si elle tient énormément à ces fringues, elle me répond qu’elle tient davantage à ce qu’il y a dessous. Curieux, je déchire son top, elle n’a pas de soutif, pas surprenant. Quand son short ...
    ... subit le même sort, je découvre un string en dentelle rouge écarlate avec un petit cœur blanc sur le devant. Je la fais mettre à genoux et admire cette belle jeunette, sexy à damner un saint et bandante comme c’est pas permis.
    
    Ses tétons pointent sous l’effet du désir et je ne prive pas de les titiller avec mes doigts. Après plusieurs instants à simuler ses petits seins, j’y pose des pinces à linge qui trainaient là avant de l’allonger sur le canapé. Elle prend le bâillon en bouche et j’enlève le dernier rempart qui me sépare de ses trésors. Une fois dans son plus simple appareil, j’enfile un gode dans chacun de ces orifices afin qu’elle se sente « pleine », sa chatte bien lubrifiée permet au jouet de s’enfoncer en elle comme un couteau dans du beurre tandis qu’un peu plus de délicatesse est requise pour son cul.
    
    Je la remets sur ses pieds et la penche sur le dossier du fauteuil. Une cuillère en bois prise dans la cuisine commence à venir caresser ses belles fesses avant de s’abattre d’un coup sur l’une d’elles. Je commence à la réchauffer alors qu’elle est remplie comme elle ne l’a jamais été. Je fais pleuvoir la cuillère pendant de longues minutes, elle remue beaucoup et essaie désespérément de s’abriter de ce cyclone. L’avantage du monogant, c’est que c’est bien plus simple de la tenir, elle est donc complètement à ma merci. Quand je lâche la spatule, ces joues sont couvertes de larmes, son cul est d’une belle teinte rouge. Je reprends le travail à la main, alors que la ...