Les mémoires de Jonathan (4)
Datte: 26/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Donatien A.F. de Sade, Source: Xstory
... Humm ! fit-elle, ouvrant ses jambes en étant dans la position Supta Virasana, nous montrant sans pudeur les détails de son anatomie au travers de son vêtement. Et toutes les créatures, les petites et les grandes, cherchent cet orifice, cette ouverture, et veulent y entrer ... s’y engouffrer afin de se faire amoureusement emprisonner par ce qui est en vérité... le plus puissant et le plus doux des pièges. Alors si c’est la conception des objets et leur forme qui t’intéresse, leur symbolisme et leur puissance ... eh bien, oublis les sommets enneigés de l’Everest, oublis les profondeurs de l’océan, la lune, les étoiles, car jamais nul autre endroit n’a été le terrain de plus de passions et de batailles que ce doux et merveilleux mystère... enfouie entre les jambes d’une femme, et que je suis fière d’appeler : ma petite chatte. Disons que c’était ma façon de dire que ce sont les femmes qui ont en fait le corps le plus désirable. Est-ce que tu le crois ?
— Je le crois ! déclaré-je, déglutissant, suivie aussitôt par Julie.
Gwen a toujours eu la main afin de ralier les autres à ses opinions, sans compter qu’elle a toujours eu le chic pour choisir sa tenue vestimentaire, ainsi que sa posture, lorsqu’elle s’adresse à son auditoire.
— Hum !, fît Gwen s’étirant, tout sourire.
Nous lui rendons son sourire, ce qu’elle apprécie. Cette jolie lesbienne inspire et expire de bonheur, toujours dans la position Supta Virasana.
Nous continuons à bavarder ainsi plus d’une heure, ...
... Gwen ayant terminé ses exercices de la soirée. Comme il commence à se faire tard, je rejoins ma chambre pour prendre une douche bien appréciée et me brosser les dents. Je commence par l’eau froide, histoire de me calmer, puis j’enchaîne avec l’eau chaude. L’eau coule le long de mon épine dorsale, c’est revigorant comme sensation. Je ne sais pas comment il est possible qu’une simple douche puisse redonner une telle énergie, moi qui étais fatigué il y a moins de cinq minutes.
Ayant terminé mes ablutions, je suis maintenant étendu sur le lit, en boxer, admirant les quelques constellations furtives qui daignent nous gratifier d’un peu de leur lumière. Le temps vient à se couvrir, bloquant par le fait même le dernier rayon lunaire. Je regarde maintenant le plafond de la chambre, m’adonnant à la réflexion. Il faut dire que ma cousine, Julie, m’a donné tout un sujet de réflexion. Ainsi, elle ne semble aucunement offusquée, ni même dégoutée par la relation charnelle que j’ai eue avec mon autre cousine. On pourrait croire qu’elle m’encourage à poursuivre ma connaissance intime de l’anatomie de Lily-Rose. Je m’endors paisiblement, serein, pour l’une des rares fois où cela m’arrive.
Pendant la nuit, un rêve m’assaille. Je me retrouve ici, derrière le manoir, lors de mes cinq ans et j’aperçois une petite fille aux cheveux blonds cachés derrière sa mère. Je me réveille en sursaut. Mais quel était donc ce rêve ? Je ne me souviens pas être venue ici lors de mes cinq ans. Ce doit être ...