Les mémoires de Jonathan (4)
Datte: 26/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Donatien A.F. de Sade, Source: Xstory
... exactement ça. Te rappelles-tu ? Ça a été pareil pour moi, lorsque j’ai perdu Nancy. J’errais telle une âme déchirée jusqu’au jour où j’ai rencontré Amber qui m’a aidée et nous sommes désormais en couple et heureuses. Elle a été la lumière qui m’a redonné espoir.
— Pour moi, depuis que ma femme est partie, je trouve qu’il n’y a pas vraiment de sens à cette vie. Ce ne sont que des jours gris comme aujourd’hui disséminés parmi tant d’autres. Seulement, depuis que j’ai rencontré Lily-Rose ...
— Laisse donc le hasard, le destin et les coïncidences dessiner ton chemin de vie. Ce n’est pas à toi de te demander si tu es sur le bon chemin. C’est au chemin de savoir si tu es digne de le parcourir. Lui seul décidera qui tu devras rencontrer, et ta vie se façonnera de toutes ces histoires que tu partageras. Comment savoir que ce sera elle ? Regarde dans la lumière de ses yeux, tu pourras lire quelque chose de merveilleux : l’image même de l’éternité, car je te le dis, l’amour ne connaît pas de fin. Il se renouvelle sans cesse...
— Tu as sans doute raison. Je dois laisser faire le temps et laisser venir les événements tels qu’ils doivent arriver.
— Bien, tu commences à saisir le principe, me dit-elle tout sourire dehors.
Nous continuons à bavarder un moment lorsque le temps, jusqu’ici incertain, laissent tomber quelques gouttelettes, signe d’une averse imminente. Nous nous dirigeons vers le manoir à la hâte mais le temps nous rattrape. Pourtant, nous ne sommes qu’à vingt ...
... minutes de marche. Arrivées à destination, nous sommes trempée jusqu’aux os. Le soutien-gorge rose de Gwen se voit au travers de son chandail blanc. Nous passons par la salle de bain du premier étage afin d’aller nous sécher avec des serviettes s’y trouvant. Une fois en sous-vêtements, nous débutons un séchage en règle lorsque Julie entre dans la pièce. Surprise sur le moment, elle affiche un rictus par la suite.
— Oh, désolée ! Je ne voulais pas vous déranger les amoureux !
Gwendoline éclate de rire.
— Quoi ? Qu’ai-je dit de si drôle ?
— Julie, je te présente ma meilleure amie, Gwendoline. Elle préfère qu’on l’appelle Gwen. Et pour répondre à ta question, elle n’aime pas trop les gars à cause d’une certaine chose chez eux.
— Comme quoi ?
— Leur pénis, déclare l’intéressée.
— Quoi ? Qu’est-ce ça veut dire ?
— Ça veut dire que je suis gai. Que je suis lesbienne. Mais il faut que tu saches, qu’autrement, après t’avoir rencontré, je trouverais ça très difficile de ne pas plonger sous les couvertures et de nous envoyer au septième ciel, dit-elle ironiquement.
— Ah, fit-elle intéressée. Tu n’as jamais couchée avec un gars ?
— Oui, mais ils n’étaient pas doués.
Elle se penche et essuie ses jambes lissent. Son corps longiligne lui confère de belles jambes surmontées d’une belle paire de fesses, petites et fermes. Par le passé, j’ai caressé le rêve de pouvoir les pétrir mais l’espoir s’envola rapidement lorsque j’appris que Gwen aimait les femmes. Gwen ...