1. Le fantasme de Sophie, femme candauliste (6)


    Datte: 25/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: pacoouzo, Source: Xstory

    ... fantasme va s’exaucer...
    
    — Mais d’après le contrat...
    
    — Le contrat n’était qu’un leurre. Nous nous étions entendus avec Marc pour que tu souffres de le voir m’honorer pendant que tu regarderas.
    
    Je fondis en larme.
    
    — Je t’en supplie Marc, ne me fais pas ça...
    
    — Mais c’est toi qui l’as voulu, ma chérie. Je te promets d’être le meilleur amant possible pour Maelis. Vu le mal qu’elle s’est donné, elle le mérite. Tu as joué une deuxième fois et tu as encore perdu.
    
    — Mais je pensais qu’on était dans une relation de confiance. Je pensais que tout ceci serait un jeu sexuel, pas une punition pour moi.
    
    — Mais ce n’est pas une punition, nous allons assouvir ton fantasme. Et si tu n’es pas contente, on te bâillonnera.
    
    Et je vis Marc prendre Maelis par la taille, la coucher sur le lit et entamer un cunnilingus.
    
    Je ne voulais pas voir cela, mais ma position attachée en face du lit ne me laissait aucune latitude pour éviter d’assister une deuxième fois à mon cocufiage.
    
    La rousse me regardait avec un grand sourire. Elle avait gagné cette deuxième bataille. Mais je savais que j’aurais ma revanche.
    
    — Viens, baise-moi Marc.
    
    — Oh oui, ça fait un moment que j’attends cela.
    
    — Viens défonce mon minou.
    
    Au moment de l’introduction de sa bite, mon mari me jeta un regard vicieux de toute puissance sur Maelis, mais surtout sur moi. Je me jurais qu’il me le payerait.
    
    Après un bon moment à la baiser, ils changèrent de position. À genoux sur notre lit conjugal, ...
    ... Marc la prit en levrette tout en lui introduisant le pouce dans la rondelle. Elle gémit tout en me regardant lubriquement.
    
    — Oh oui, enfonce-moi ton pouce dans mon trou de balle. Vas-y, montre à notre soumise le pouvoir de ta queue.
    
    Marc lui démontait littéralement la chatte. Puis il se retira et se mit sur le dos. Elle allait venir s’empaler sur sa grosse verge. Il savait que c’était ma position préférée. Encore une humiliation à mon encontre. Il me regarda et me sourit...
    
    Je me jurais qu’il allait le payer cher, très cher.
    
    Au dernier moment, elle lui dit d’une manière perverse :
    
    — Viens, encule-moi.
    
    Et elle s’embrocha sur le vit de Marc en poussant un grognement rauque.
    
    Mon homme était aux anges. Il me jeta un autre regard libidineux.
    
    Avec sa main droite, il caressait le clitoris gonflé de sa maîtresse.
    
    — Ah oui, mon chéri, encule-moi plus fort, fais-moi jouir. Je t’aime si fort mon amour.
    
    — Moi aussi, je t’aime si fort Maelis. Tu es une vraie garce.
    
    J’étais dévastée en les entendant s’avouer mutuellement leur amour. (Fictif ou réel ?)
    
    J’étais au bord de la crise de nerfs. En pleurs, j’apostrophais mon mari.
    
    — Marc, si tu n’arrêtes pas sur-le-champ de forniquer avec ta putain, tu en subiras de lourdes conséquences.
    
    Ils me regardèrent tous les deux avec un grand sourire tout en explosant ensemble dans un même orgasme.
    
    Ils s’affalèrent sur le lit côte à côte et je vis Marc embrasser tendrement Maelis.
    
    J’étais ravagée, je pensais ...