1. Monsignore


    Datte: 24/03/2021, Catégories: fh, hagé, religion, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, uro, Auteur: Gigi02, Source: Revebebe

    ... pas catholiques du tout, ni même très orthodoxes,
    
    Et à l’origine de ces « choses curieuses » était une liqueur élaborée par les sœurs elles-mêmes, à base de plantes cultivées dans leur jardin, mélangées à d’autres, récoltées sur les sommets de la montagne. Et cette liqueur, dont les sœurs gardaient jalousement le secret de fabrication, et qu’elles avaient appelée « la Violetta » en référence à sa jolie couleur, avait des effets pour le moins curieux pour celui, ou celle, qui d’aventure, se risquait à en consommer les soirs de pleine lune, et seulement les soirs de pleine lune. En effet, et nul n’en pouvait expliquer la raison, ces soirs-là, outre un effet euphorisant amenant à l’extase, elle provoquait durant quelques jours, chez le consommateur, une irrésistible et incontrôlable envie de s’adonner aux plaisirs charnels, au point que certains villageois auxquels les sœurs vendaient tout ou partie de leur production, affirmaient en riant que celle-ci pourrait même permettre à un mort de bander…
    
    Bien sûr, il avait fallu un certain temps avant que les sœurs ne se rendent compte des effets étranges de leur liqueur, en grande partie bien sûr à cause des plaisanteries égrillardes des villageois. Et si la majorité d’entre elles s’en était trouvée horrifiée, au point d’en vouloir faire cesser sur-le-champ toute la fabrication, il fallut bien convenir que sa commercialisation dans les environs, même à petite échelle, représentait une source de revenus non négligeables… et Mère ...
    ... Maria-Angéla s’était donc simplement contentée d’adresser moult prières au Seigneur afin que celui-ci protégeât les sœurs de la tentation et de la luxure.
    
    Mais c’était inutile. Et trop tard. Le mal était fait, et le démon du sexe avait, petit à petit, fini par posséder le corps et l’esprit des religieuses. À tel point que certaines, qui y avaient pris goût, n’hésitaient pas, les soirs de pleine lune, dans le secret de leur couche, et pas toujours seules, à profiter des vertus particulières de leur étrange breuvage…
    
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    Sœur Caterina remonta sa culotte et tira sur sa robe.
    
    — Vous êtes en progrès, Sœur Irène, votre jeu de langue est maintenant un délice. Pourtant, soupira-t-elle, j’aimerais tant pouvoir goûter à autre chose, maintenant que cette liqueur a fait de nous des damnées avides du pêché de chair… je n’arrive plus à me satisfaire d’un cierge, pas vous ?
    
    Car contrairement à la majorité des religieuses du couvent, sœur Caterina n’était plus une oie blanche ; sans pouvoir lui donner un âge précisément – elle ne devait pas avoir dépassé la quarantaine – et malgré la présence de deux minuscules excroissances de chair sur la joue et le menton, elle était plutôt jolie et présentait un visage agréable à regarder. Elle était entrée en religion suite à la mort de son fiancé, et par conséquent, se trouvait instruite des choses du sexe et de l’amour.
    
    Sœur Irène se redressa, rajusta sa coiffe, retira le poil resté collé sur sa langue et soupira à son tour ...
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