1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. Enterrement de vie de jeunes filles (1/1)


    Datte: 24/03/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... à mourir d’ennui, la seule fenêtre donnait sur le mur d’une usine désaffecté de l’autre côté de la ruelle.
    
    Nous redescendions quand la porte donnant sur l’extérieur franchi, je vois en face de moi une porte en fer avec un judas, avec une enseigne marquée « Club privé », le sexe voilà ma voie.
    
    • Corentin, c’est votre agence qui cherche à louer ce club privé.
    
    • Jennifer, vous voyez bien l’affiche sur la porte, c’est celle de notre agence, mais c’est impossible à louer, le propriétaire a fait faillite, le club est trop isolé dans cette petite rue.
    
    Pourtant, il y a du potentiel, avec une bonne pub, vous voyez le porche sur le côté, il donne sur la cour de l’usine qui se trouvait dans ce bâtiment pouvant se transformer en parking.
    
    • On peut visiter, j’aimerais voir comment était fait un club privé où les gens venaient s’encanailler.
    
    • Club privé, club libertin ou échangiste, vous y êtes déjà entrée pour votre plaisir personnel, il y en a de nombreux dans Paris.
    
    • Vous me demandez si je couche avec le premier venu, c’est ce qui se passe dans ce genre de club.
    
    • Quand le club était ouvert, étant célibataire, j’y suis venu une fois, les hommes proposaient, les femmes disposaient, sur certains côtés, les libertins sont plus respectueux des femmes que certains hommes.
    
    Si vous m’attendez dans ce café au coin, je retourne à l’agence chercher les clefs et je vous fais visiter.
    
    Un quart d’heure, le temps de prendre un café, plus celui qu’il m’offre à son ...
    ... retour et il ouvre la porte.
    
    • Entrez, j’ai apporté une lampe torche, le compteur est coupé, comme la salle principale est borgne, nous ne verrions rien.
    
    Un vestibule, ou une chaise permettait au videur de s’asseoir entre deux clients ou clientes, sépare de la salle du bar, tout autour des salles, plutôt des niches ou les couples libertins venaient baiser.
    
    • Vous voyez, dans cette cage en verre, le soir où je suis venu, mais non, il m’est impossible de vous expliquer ce que nous avons fait avec une femme.
    
    • Vous en avez trop dit, Corentin, je suis loin d’être prude, qu’avez-vous fais, mieux faite moi voir.
    
    Corentin est beau gosse, il se trouve que je suis seule depuis trop longtemps et un petit coup de bite me ferait du bien.
    
    Dans la lumière blafarde de la lampe torche, j’ouvre ma robe d’été pour me présenter en string, je porte rarement des soutiens-gorge.
    
    • Tu viens.
    
    Je trouve l’entrée dans la cage vitrée par un trou sur l’arrière, il y a toujours les coussins au sol, heureusement, car il m’est impossible d’être debout, une odeur de poussière est présente, j’ai trop envie de baiser, j’en fais abstraction.
    
    Je vois la lampe posée au sol et quelques minutes après, les coussins bouger derrière moi, la lumière diffusée par la torche à travers la vitre me montre qu’il bande, il est à genoux sa tête au plus haut du plafond de verre.
    
    • Tu vois, nous étions dans cette cage, isolé des autres, j’étais derrière cette femme comme je le suis maintenant, la ...