1. Exhalaison


    Datte: 24/03/2021, Catégories: fh, jeunes, enceinte, campagne, amour, Oral 69, pénétratio, fsodo, mélo, Auteur: Kirlan, Source: Revebebe

    ... cambrer, et ses mains posées sur mes cuisses affermirent leur emprise sur mes jambes. Il enfonça directement sa langue aussi profondément qu’il le put, l’agita de haut en bas, me pénétra plus encore et revint agacer mon clitoris, qu’il mordilla avant de l’aspirer et de léchouiller, et de recommencer dans le désordre. J’aimais cet enthousiasme sans retenue, cette précipitation qu’il avait à bouffer ma chatte, il n’y avait pas d’autres mots pour le dire.
    
    Et puis sa langue s’aventura plus bas, alors que l’un de ses doigts s’invitait dans mon sexe qui en réclamait déjà plus. Il lécha d’abord la peau entre mon vagin et mon anus, et je constatai une fois encore que cette partie de mon épiderme était l’une des plus érogènes de mon corps. Puis sa langue commença à tournoyer autour de mon petit trou. J’attrapai mes jambes sous mes genoux et les ramenai vers moi le plus possible. Il fallait que j’en profite. Vu la façon dont mon ventre s’arrondissait, je ne pourrais bientôt plus faire ça, pendant un bon moment. Les fesses relevées vers son visage, Antoine avait donc vue et accès sur ma chatte et surtout mon cul, qu’il se mit à pénétrer de sa langue tout en faisant aller et venir deux doigts dans mon vagin. Le double traitement m’emporta comme une vague emporte l’écume pour l’emmener vers d’autres rivages. J’accostai en terre de plaisir. Mes cris l’encourageaient, je serrai de plus en plus fort les doigts sous mes genoux, jusqu’à m’en faire mal.
    
    — Je te veux en moi, Antoine, ...
    ... viens, mon amour, viens.
    
    Il obéit aussitôt, se pencha vers moi pour m’embrasser, me permettant ainsi de goûter à mon sexe et à mon cul, et, tout en fourrant sa langue dans ma bouche, il trouva le chemin de ma chatte et s’y enfonça. Mes jambes sur ses épaules, il pouvait s’enfoncer le plus profondément possible en moi, et il ne me ménageait pas, il savait quand j’avais besoin d’un peu plus que de tendresse, il me pénétrait avec vigueur, et même si l’angle n’était pas vraiment idéal, je sentais sa queue comme jamais disparaître en moi, notre rapport était si intense que nous étions en train de glisser, nous n’étions plus sur la veste d’Antoine. J’étais sur le point de jouir, quand je lâchai l’une de mes jambes pour agripper sa bite trempée de ma liqueur. Il se retira pour savourer la caresse, je le branlai pendant une ou deux minutes et, alors qu’il commençait à grogner de plaisir, j’interrompis mon traitement pour diriger son gland vers mon petit trou du cul. Il me remercia en m’embrassant, mes jambes repliées de part et d’autre de mon ventre, sous son poids, me faisaient mal, beaucoup plus que de sentir sa queue s’enfoncer dans mes fesses, mais je m’en foutais, ce baiser me semblait essentiel. Il prit tout son temps pour s’introduire à fond, et quand il se recula, je sentais déjà qu’il était entièrement en moi. Il commença alors ses allers-retours, figure imposée toujours réinventée, un mouvement presque vain qui se suffisait pourtant et trouvait sa seule justification dans le ...