1. Samia - 46 Un casse.


    Datte: 23/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne Auteur: mia-michael, Source: xHamster

    ... je te conseille de continuer à être aussi... conciliante. C’est votre punition pour avoir essayé de nous voler... Avant le départ, vous allez passer deux jours à la disposition de Max et de Lisa. Les ouvriers et les ouvrières qui en ont envie pourront se distraire avec vous.
    
    Il se tourne vers Lisa et Max et leur dit :
    
    — Maintenant, emmenez-les loin de moi. Pour le moment, je ne peux plus voir ces ingrats !
    
    Non, mais je rêve : nous, des ingrats ? Qu’il en trouve d’autres qui se dévouent autant pour sa saloperie d’usine ! J’ai quand même aidé à décrocher des gros contrats en suçant ses clients ! Max lui demande :
    
    — Carte blanche pour leur donner une petite leçon ?
    
    — Absolument.
    
    — Bien, à poil, les voleurs.
    
    C’est quand même dur à entendre. On se déshabille. Lisa sort de sa serviette deux morceaux de cordes et Max nous attache les mains derrière le dos. Je lui dis :
    
    — On ne va pas s’enfuir.
    
    — Je m’en doute, mais c’est symbolique. Tu comprends ?
    
    Lisa prend deux laisses, le genre pour molosse avec des colliers étrangleur. Max ajoute :
    
    — Ça aussi, c’est symbolique.
    
    Salaud ! Lisa prend la laisse de Julien et Max la mienne et on les suit jusque... dans le premier atelier, celui des hommes ! Alors là, on a un franc succès : rires, insultes, sifflets, la totale ! On fait le tour de l’atelier. Des mains calleuses me caressent et me pincent les fesses au passage. Julien s’en sort mieux, c’est tout à fait injuste ! Ensuite, on va dans l’atelier des ...
    ... femmes. On a tout autant de succès, sauf qu’elles sont pires que les hommes. Plusieurs d’entre elles me crachent à la figure. Le crachat coule sur ma joue, impossible de me frotter avec les mains attachées. Une jolie brune bien vulgaire dit :
    
    — S’ils ont une laisse, ils devraient faire un tour comme des chiens. Vous ne trouvez pas, Monsieur Max ?
    
    — Bonne idée ! À quatre pattes, les voleurs.
    
    C’est pas du tout que je sois pudique, mais être à quatre pattes au milieu de gens hostiles, on se sent vraiment vulnérables.
    
    Des filles me crachent sur les fesses, ce qui est quand même mieux que dans la figure. Julien, on lui crache à peine dessus. Il y a autre chose : on n’est pas fait pour marcher à 4 pattes sur du béton. C’est de loin pire quand une fille demande :
    
    — Je peux la monter, Monsieur Max ?
    
    Quoi ??? Elle est folle ! Ce salaud répond :
    
    — Oui, ce sera marrant.
    
    NON ! La fille saute sur mon dos et elle me donne une claque sur les fesses en disant "hue !" Heureusement, elle est légère, parce que mes genoux sont de plus en plus douloureux. Une grosse femme relève sa jupe et enfourche Julien. On s’occupe aussi de lui ! Il y a une fameuse ambiance. Plusieurs filles font un tour sur mon dos et celui de Julien. C’est très pénible. Les femmes se bousculent pour mieux voir. L’une d’elles vient avec deux baguettes en bambou, dans le genre des tuteurs pour les plantes et on reçoit des coups sur les fesses pour nous faire avancer plus vite. Je suis sur le point de ...