Fanette 04
Datte: 23/03/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Bonlien, Source: Hds
Ce récit de 7 jours que je qualifie de rude romantique est basé sur une chanson qui m'a hanté et m'a fait longtemps fantasmé alors que je n'ai retenu que les premières paroles, "Nous étions deux amis... et Fanette m'aimait..."
Jour 4
Je me réveille par un tenaillement comme ma hampe force sa cage confinée … une érection, tant par un besoin de vider ma vessie que par une puissante envie sexuelle fortement visible par la quantité de suc qui badigeonne l'intérieur de mes cuisses. Je suis pleinement conscient de mon état actuel, un immense Amour pour Fanette, NOTRE Fanette, partagé avec Pascal, un Amour que je ne vois plus en rivalité, mais grandi par cet amour différent que j'éprouve maintenant pour mon ami.
Je réalise alors que je suis seul dans le lit et la peur de la punition du retardataire me fait tressaillir. Je me précipite hors du lit et dévale les escaliers. Le regard sévère de ma douce Fanette me prévient qu'il est trop tard. Elle est assise à table et joue avec le corps de Pascal tandis qu'un bol est prêt sur le sol. Mon effroi est encore plus grand lorsque je réalise, dans ma précipitation, que ma vessie crie son désarroi comme je n'ai pas pris le temps de m'arrêter aux toilettes et la course n'a rien arrangé à sa pression. Je tombe sur mes genoux et demande à notre Fanette pour pouvoir me soulager. Elle éclate de rire et me demande pourquoi elle devrait accepter ma requête alors que je mérite une punition. Incapable de lui répondre tant elle a raison, je ...
... commence à ramper vers le bol diabolique, grimaçant et me contorsionnant, mais elle m'interrompt et, dans sa grande bonté, elle me propose d'aller me vider dans le jardin.
Comme je me lève, notre Fanette m'arrête, détache mes mains et me dit de la suivre à quatre pattes. Je la suis d'un air interrogateur et gêné comme Pascal me suit aussi, lui debout. Elle me désigne un arbre et me dit de me soulager au pied de l'arbre comme le chiot que je suis. Je ne peux pas en croire mes oreilles, mais le pressant besoin ne me laisse pas le choix. Sous l'œil amusé de notre Bien-Aimée, sous le regard surpris, amusé au début puis inquiet de mon ami, je lève une jambe et commence à arroser l'arbre à travers le tube de plastique, soulageant ma vessie en douleur.
Dans la même logique, difficilement acceptée, Notre Fanette me fait rentrer, toujours à quatre pattes, pour me laisser 'déguster' mon déjeuner dans l'écuelle, me traitant de chiot et ricanant. Je me sens gêné et humilié, mais d'une façon si tendre par notre Amour que je l'accepte totalement comme je peux percevoir son grand plaisir. Je n'ai pas encore terminé mon repas qu'elle s'approche de moi, me caresse comme son toutou et me glisse à l'oreille que je suis un beau et bon chiot mais qu'il me manque un apparat.
Je m'inquiète de ses mots mais cela ne dure pas longtemps comme elle glisse un doigt en moi et le remue quelques minutes. Je suis alors surpris lorsque je sens un contact froid alors qu'elle semble répartir une matière ...