La petite nana paumée
Datte: 23/03/2021,
Catégories:
Hardcore,
Masturbation
Mature,
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
Ce soir-là, Mathilde joua le rôle d’une fille qui venait de se faire larguer par son mec dans une ville où elle ne connaissait personne, en pleine nuit. Il l’avait sommée de descendre de sa voiture et était reparti en trombe en emportant ses affaires. Elle n’avait rien sur elle, ni téléphone portable ni carte bleue. Elle s’était mise à déambuler dans les rues et, voyant de la lumière à la fenêtre, elle sonna à la porte.
J’ouvris d’abord la fenêtre, car une visite à une heure aussi tardive, c’était curieux. La fille se tenait un étage en-dessous, sur le trottoir, les yeux levés vers moi. Elle dit :
« Je suis désolée de vous déranger, j’ai vu de la lumière, j’aurais besoin de téléphoner. »
« Vous êtes perdue ou quoi ? » demandai-je.
Elle avait l’air confus et paniqué.
« Je viens de me faire larguer en voiture par mon conjoint. Il est parti avec mes affaires et je ne suis pas d’ici. J’aurais besoin de téléphoner à une copine pour qu’elle vienne me chercher. »
« Montez. »
Je refermai la fenêtre, activai l’interphone et ouvrit la porte sur le palier. Celle d’en bas se referma et la fille prit l’escalier.
En réalité, il n’était pas encore 20 heures et on entendait la télévision des voisins du rez-de-chaussée. C’était la deuxième fois qu’on faisait un scénario où une inconnue venait sonner à ma porte. A force, les voisins allaient finir par se demander ce qu’on fabriquait, Mathilde et moi…
Elle portait un manteau marron, un pantalon noir et des bottines ...
... crème. Parvenue à l’étage, elle répéta :
« Je suis désolée de vous déranger. »
« Ce n’est rien. Entrez. »
Elle me précéda dans l’appartement et je refermai la porte. Je la guidai jusqu’au salon et elle compléta son récit :
« On rentrait de chez les parents de mon conjoint et il restait une heure et demie de route. J’ai eu la mauvaise idée de ne pas attendre d’être arrivé chez nous pour lui annoncer que j’avais décidé de le quitter. »
« Vous habitez où ? »
« A Poitiers. »
« Et quelqu’un peut venir vous chercher depuis là-bas ? »
« Oui, ma meilleure amie. La seule personne dont je connais le numéro par cœur. »
« Tenez », dis-je en lui tendant mon téléphone portable.
« C’est vraiment aimable à vous, merci. »
Elle composa un numéro et colla le combiné à son oreille. Elle se déplaça dans la pièce et je l’observai. Mathilde tenait parfaitement son rôle, comme à chaque fois. Elle m’épatait.
Au bout d’un moment, je l’entendis dire :
« Lucie, c’est Hélène. Je suis vraiment désolée de t’appeler à une heure pareille. Luc vient de me larguer à Limoges en emportant toutes mes affaires. Je t’expliquerais… J’espère que tu ne dors pas. J’aurais besoin que tu viennes me chercher. Je suis chez quelqu’un qui m’a prêté un téléphone et je ne connais personne ici. Peux-tu me rappeler, s’il te plait ? Merci. »
Elle revint vers moi et me rendit le téléphone.
« Merci beaucoup. J’espère qu’elle va écouter ce message… »
« Il est tard, dis-je en reprenant ...