1. Histoire d'eaux 1982


    Datte: 23/03/2021, Catégories: ff, jeunes, profélève, poilu(e)s, fépilée, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral uro, Masturbation Auteur: Lit Thé Ratures, Source: Revebebe

    ... entre celles de Laure, pour que leur union soit plus parfaite, que leurs corps s’entremêlent. Laure espère que l’eau dissimulera l’abondance de sa liqueur de fille qui recouvre ses lèvres intimes. La cuisse d’Ilse s’agite lentement, au même rythme que sa langue dans la bouche de Laure, la pression se fait même plus forte contres les lèvres du sexe de la jeune française. À son tour, Laure parvient à emprisonner la cuisse d’Ilse et sent sur sa cuisse la délicate pression de la chatte nue de sa nouvelle amante. Laure est soudain tétanisée lorsqu’elle ressent sur sa peau une sensation de chaleur inhabituelle. Une vague chaude glisse sur elle, se mêlant à l’eau. Ilse a stoppé son baiser et la regarde dans les yeux. Etonnée de ne pas être choquée, surprise d’apprécier cet hommage inconnu, qu’elle aurait trouvé dégradant ou dégoûtant quelques minutes plutôt, Laure maintient et appuie même sa cuisse contre ce minou qui s’oublie sur elle. Le contact du sexe lisse de sa compagne mélangé à la cascade dorée qui s’en échappe et une foule de sentiments d’abandon total, d’humiliation, d’excitation, provoquent chez Laure un orgasme aussi inattendu que fulgurant.
    
    Pour se remettre de ses émotions un peu inavouables, Laure, tremblante, se laisse glisser sous l’eau et fait quelques brasses, rapidement rejointe par Ilse. Les deux jeunes femmes se lancent alors dans une chorégraphie aquatique d’une sensualité à couper le souffle. Elles se frôlent, se touchent, s’embrassent et se caressent ...
    ... sous l’eau. On ne sait plus à qui est la main qui touche un sein pointu, à qui est la cuisse qui effleure une fesse ronde. Les deux corps sont tellement emmêlés qu’on ne distingue plus que la crinière et le pubis brun de Laure, les cheveux clairs et courts d’Ilse disparaissant dans la semi obscurité.
    
    C’est en riant qu’elles sortent de l’eau pour se précipiter sous les douches. Inséparables, collées, elles se rincent du chlore de la piscine, s’embrassant à nouveau. Ilse prend le visage de Laure entre ses mains, et, avec son accent germanique, lui dit à quel point elle la trouve jolie, que ses cheveux sont superbes, qu’elle aimerait s’endormir en les touchant. À son tour, Laure lui raconte qu’elle avait peur de la revoir depuis l’incident de l’autre soir, qu’elle l’avait trouvé si belle, si pure et, prenant la main de sa prof pour la poser sur ses poils pubien, elle explique la honte de sa touffe si vulgaire. Du bout des doigts, elle touche les lèvres lisses et gonflées, les caresse délicatement comme on toucherait un bijou. Sans perdre le contact avec le fruit de son amante, qui se gorge d’un jus parfumé, Laure s’agenouille et embrasse le sexe avec tendresse. Doucement, sa langue s’insinue entre les deux lèvres, le goût d’Ilse se répand dans sa bouche. Le parfum qui l’envahit est à la fois doux et iodé, aux nuances délicatement poivrées. La brune se délecte de ce nectar et sa langue part à la recherche de la source, explorant chaque repli de la fleur de son amoureuse. Laure ...