1. Perdre pied


    Datte: 23/03/2021, Catégories: ff, fhh, 2couples, couplus, cocus, vacances, bain, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... l’ai fait, bien entendu. Alors il m’a fait me relever, me retourner, m’a relevé la robe jusque dans le dos, enlevé mon slip.
    — Un slip qu’il a mis dans sa poche en disant « Souvenir… » tout en me regardant, précise Marc, qui manifestement revit ce moment. Il l’a fait coucher sur une table de jardin, les pieds à terre, les cuisses qu’il a écartées. Elle montrait ses fesses cambrées. Alors tout en guidant sa queue vers la chatte il m’a regardé et dit : « Regarde bien, petit, ce qu’un homme, un vrai, va faire de ta copine. » et il est entré d’un coup. Elle a crié sous la puissance, mais s’est très vite calmée. Juan, tout en la baisant si fort qu’elle devait s’accrocher aux bords de la table pour ne pas tomber, n’arrêtait pas de parler. Des mots aussi bien pour elle que pour moi, du genre :
    
    « Putain, elle est grande ouverte, mec. Ta copine est toute humide. Elle avait envie qu’un homme, un vrai, la baise. Salope… cochonne… putain… je vais te la labourer. Tu vas voir, salope, ta chatte va te brûler ! » Léa a jouit très vite ; hein, chérie ?
    
    — C’est vrai. La situation était si particulière… Marc qui me regardait, Juan qui me traitait de tous les noms et qui me baisait fort. C’est vrai que je me sentais salope de le laisser faire, mais c’était si bon ! Il a joui à son tour, en enlevant sa capote et en crachant son foutre sur mes reins et mes fesses. Sans un mot il a remis son pantalon, et en partant il a dit à Marc : « À toi ! » Et un peu plus loin : « Je suis là tous les ...
    ... soirs si tu as besoin d’unhombre avec descojones. »
    — Une personnalité, ce Juan ! La façon dont il avait pris en main ma copine m’interpellait. Une violence de langage, une brutalité à peine retenue dans les actes. Moi aussi, d’une certaine façon, il m’avait humilié par ses sarcasmes, et pourtant je ne lui en voulais pas. Léa non plus d’ailleurs. Elle aurait été bien ingrate car c’était une évidence qu’elle avait pris son pied. On était tous les deux quasiment pétrifiés de ce que nous avions fait. C’est Léa qui a réagi la première en me demandant d’essuyer ce que l’homme avait abandonné sur elle. J’ai avancé en sortant un mouchoir de ma poche. Elle était toujours allongée, retroussée, les fesses bien à l’air, avec ces traces blanchâtres qui tranchaient sur sa peau bronzée. Elle était troublante, encore chaude de cet homme qui l’avait couverte. Alors j’ai sorti ma verge qui était raide depuis un bon moment, et à mon tour, passant après un autre, je l’ai possédée. Ça a été fantastique ! N’est-ce pas, Léa ?
    — Oh oui. Une des plus belles jouissances de ma vie. Et c’était encore plus fort quand tu t’es terminé dans mon cul.
    
    Le silence s’installe après ces aveux plus que chauds. C’est Martine qui le rompt:
    
    — Et vous y êtes retournés le lendemain ?
    — Non, on n’a pas osé. Pendant quelques jours nous nous sommes sentis coupables, et puis… oui, Juan nous avait ouvert de nouveaux horizons. Horizons que nous avons explorés de retour en France.
    — Chéri, pour être vraiment honnêtes, ...
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