Soumettre Nicolas
Datte: 12/01/2018,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
fépilée,
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
facial,
nopéné,
sm,
journal,
hsoumisaf,
Auteur: Manofsam, Source: Revebebe
... dans le couloir, je n’allais bien évidemment pas me masturber.
Finalement, je me décidai à tenter d’observer Nicolas. Plutôt que de passer la tête dans l’entrebâillement, ce qui m’aurait rendue ridicule si Nicolas m’avait vue, je passai devant la porte de mon bureau sans m’y arrêter, comme n’importe quelle personne de l’entreprise. J’eus ainsi le temps – très bref cependant – de voir que Nicolas s’était bien levé et s’était même rapproché de ma chaise pour en observer le tissu de près. Il avait le visage à quelques centimètres de la tache. Était-il en train de la sentir ? Je repassais en sens inverse, le plus rapidement possible. Pas de doutes : il avait posé sa langue sur la tache. À nouveau cachée, je m’adossai contre le mur et lâchai un soupir. Nicolas était donc un vrai petit pervers. Il ignorait ce qu’était cette tache : cela aurait pu être de l’urine, mais qu’importe, il avait décidé de goûter. Quelque part, je me dis que je devais véritablement l’exciter, car il venait de goûter aveuglément mes sécrétions intimes. L’image de sa langue en train de laper mon sexe me traversa l’esprit, mais je la chassai au plus vite. Ne pas se laisser à nouveau déraper… Les choses vont trop loin, me dis-je, sans doute pour la douzième fois depuis le début de la semaine.
Après quelques minutes, je revins dans le bureau que je trouvai parfaitement en ordre. Nicolas travaillait à son poste, studieux – on eut dit qu’il n’avait pas bougé de là. Je m’assis sur ma chaise, légèrement ...
... trempée, et me remis au travail. Bien entendu, j’envoyai un nouveau mail à Blackbird :
Je n’ajoutai rien de plus qui puisse laisser penser à mon maître que j’estimais qu’on allait trop loin. Blackbird me répondit :
Un cadeau ? Mais comment cela était-il possible ? Je ne compris pas ce message. Cependant peu après, vers 11 h 30, on frappa à la porte du bureau.
— Mlle Emma xxxx ? Un colis pour vous. L’accueil m’a indiqué votre bureau.
— Ah ! merci, très bien.
Je signai le bon de livraison. C’était Eugène, le facteur habituel. La date sur le colis était celle d’hier. Blackbird avait donc posté ce « cadeau » la veille, en prévision de mes actions du jour. C’était visiblement quelqu’un d’organisé, de prévoyant et avec un sens certain de la mise en scène. Évidemment, je décidai de ne pas ouvrir le colis devant Nicolas. J’envoyai ce mail :
La réponse me parvint aussitôt :
J’en restais bouche bée. Comment pouvais-je me tirer de ce faux pas ? Il me semblait cette fois que nous allions trop loin… Je pouvais m’exposer à Nicolas, ça je le voulais bien, oui. Mais pour le reste ? Pouvais-je briser ce silence que j’avais établi pour engager un dialogue adultère, fait d’ordres lubriques et d’actes sexuels ? Avais-je le choix ? Pouvais-je seulement le cacher à Blackbird ? La seule façon de m’en tirer, c’était encore d’accomplir toute la mission, mais de ne pas permettre le moindre contact entre Nicolas et moi. L’avantage, c’est que JE dominais, ce qui me mettait à l’abri de ses ...