1. Confessions d'une esclave sexuelle (1)


    Datte: 22/01/2018, Catégories: Trash, Auteur: Bison noir, Source: Xstory

    ... allais-je donner à cet enfant ?
    
    L’amour avec Jérôme était bel et bien fini. Il ne m’aimait plus, il ne se cachait même plus pour me tromper laissant son téléphone bien visible lorsqu’il recevait des messages ou des photos dénudés de ses maîtresses. Petit à petit, il a réussi à m’isoler de l’extérieur. J’avais pris un congé parental de 3 ans pour m’occuper d’Alexis. Ce congé me permettait d’être avec mon enfant, mais m’a également plongée dans une profonde dépression. Je continuais à grossir en subissant au passage les réflexions abjectes de Jérôme qui me comparait à un cachalot échoué sur une plage lorsqu’il me rejoignait au lit.
    
    Pour m’humilier, il venait souvent se coller à moi lorsque je lui tournais le dos sur le côté du lit. Il glissait sa main dans ma culotte, ses doigts se frayaient un chemin entre ma touffe de poils (je ne prenais plus le soin de m’épiler) pour caresser mon clitoris. Malgré le profond dégoût que j’éprouvais pour cet homme, la stimulation de mon clitoris finissait forcément par me faire mouiller. Dès qu’il le sentait, il attrapait et tirait la graisse de mon ventre en me disant “comment veux-tu que je baise une grosse vache pareille ?? Je ne suis pas zoophile !” Il se retournait pour s’endormir me laissant humiliée, énervée et ...
    ... pleine de tristesse. A cette époque, j’ai pesé jusqu’à 100 kilos.
    
    La goutte d’eau qui a fait déborder le vase eut lieu un dimanche après-midi. Alors qu’il était censé jouer un match de foot avec son club, je reçus plusieurs photos sur ma messagerie. Mon cœur n’a fait qu’un tour. 3 photos, 3 putains de photos...
    
    Sur ces photos, il y avait Jérôme (enfin sa bite !) et une fille que je connaissais très bien...
    
    C’était Nathalie, qui était la seule amie et confidente qui me restait. Comment avaient-ils pu me faire ça...
    
    Sur une photo, on voyait Nathalie avaler complètement sa bite, une autre avec son anus complètement dilaté, la tête de Jérôme posait sur une de ses fesses, grand sourire, et la dernière le visage recouvert de sperme. La rage me fit hurler, réveillant Alexis de sa sieste. Cependant, très rapidement, je me suis dit que c’était un mal pour un bien. C’était enfin le déclic pour mettre fin à ce calvaire qui avait trop duré. J’allais abandonner mon enfant (Jérôme était un compagnon exécrable, mais je dois reconnaître que c’était un bon père), mais je n’avais plus le choix. Je passai le reste de la journée à m’occuper de mon fils et à remplir mes sacs. Lorsque Jérôme rentra, je pris Alex fort dans mes bras et partit sans un regard pour Jérôme. 
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