1. Voici ce que je crie


    Datte: 21/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe BDSM / Fétichisme Auteur: wilparis75, Source: xHamster

    ... pleurer sous le foulard car son mascara a dégouliné sur ses pommettes et dessine le contour d’un masque de raton laveur, décuplant l’intensité du regard éperdu de reconnaissance qu’elle échange avec son mari. Il lui nettoie alors sensuellement le tour de la bouche à petits coups de langue et ils finissent par s’embrasser passionnément, reprenant patiemment leur souffle, blottis l’un contre l’autre dans un coin de la chambre.
    
    Quand Sophie cesse enfin de crier son plaisir, elle se détend soudain et s’affale sur mon corps. Je suis aussi au bord de l’explosion et mon baiseur s’active de plus en plus vite en moi pour ne pas laisser s’échapper l’exaltation qui s’annonce. L’homme qui baisait Sophie extrait alors lentement sa verge mollissante du sexe de mon amie et une grosse perle blanchâtre commence à suinter entre les lèvres de la vulve adorée. Sophie, s’apercevant de l’écoulement intempestif, se redresse et roule sur le côté, pour ne pas répandre sa récolte sur mon visage. Lorsqu’elle s’écarte, je découvre enfin le visage de l’homme qui me culbute avec tant de ferveur et je reste clouée sous le choc : Paul ! À qui je décerne illico le titre doublement mérité de Plus Grosse Tête de Nœud du Midi Pyrénées et de la Région PACA Réunis. L’imbécile feint la surprise :
    
    • — Tiens ! C’est toi ? Comme on se retrouve ! Je me doutais bien que tu préférais les filles, mais tu n’as pas l’air de détester ce que je te fais, après tout. Ça te plaît, comme ça, petite gouine ?
    
    Réalisant ...
    ... peut-être qu’il ferait mieux de se taire, il me prend par-dessous les bras et se penche doucement vers moi pour me lécher le cou. Sa bite énorme remplit mes profondeurs d’une plénitude presque indicible. Il me bourre lentement, repoussant sans cesse plus profondément les parois de ma chatte. Je me sens infiniment légère et vulnérable entre ses bras puissants. Je plante mes griffes dans son dos et le serre très fort contre moi. Puis j’écarte plus largement les cuisses et, en lui embrassant le lobe de l’oreille, je lui murmure ma reddition:
    
    • — Vas-y ! lui dis-je en un soupire, baise-moi à fond !
    
    >
    
    À ce point, si je n’ai pas joui avant, il me faut rarement plus de quelques allers-retours pour imploser et c’est donc ainsi que s’achève généralement mon fantasme préféré. Bien sûr, la fantaisie que je vous ai racontée ici n’est jamais « ni tout à fait une autre, ni tout à fait la même » mais j’estime qu’elle résume assez bien l’atmosphère générale de mes escapades imaginaires. J’espère tout du moins avoir fait partager au lecteur l’intensité des émois qui m’animent, même si je n’ai bien sûr décrit qu’une infime partie de mes délires libidineux.
    
    Parfois, au gré des variations du récit, je me retrouve même avec le gode fermement planté entre les fesses. Le vendeur était sans doute optimiste ; le jouet est un peu trop gros pour les pénétrations anales, tout du moins à mon goût. Cependant, les soirs où je ressens vraiment l’envie d’être prise par là, j’arrive à l’introduire ...