1. Sur ce coup là, j'aurais mieux fait de me taire (1)


    Datte: 21/03/2021, Catégories: Lesbienne Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... ça allait, par-dessus cela j’avais envie de rouspéter car ces deux femmes étaient en train de m’agresser sexuellement, mine de rien. De temps à autre Muriel me pinçait le téton qui était à sa disposition et cela me faisait un effet monstrueusement excitant. J’avais vraiment honte car je venais me plaindre auprès de ma supérieure comme quoi ma collègue me harcelait sexuellement et maintenant j’étais en train de mouiller comme une chienne en chaleur sous l’effet de leurs caresses. Je sentais que ma culotte était trempée de mouille tout comme le siège sur lequel j’étais assise. À force d’insistance de leur part j’ai fini par prendre mon pied contre mon gré mais pour mon plus grand plaisir; il n’y a pas à dire, ces deux femmes étaient en train de me dompter. Bien que j’ai joui intensément, les deux femmes continuaient à me caresser et cela commençait à devenir insoutenable.
    
    Quand elles ont jugé que c’était suffisant, elles ont cessé pour me laisser reprendre mes esprits après cette jouissance qui venait de très loin. Pendant que je retombais sur terre, les deux femmes se sont débarrassées de leur culotte, elles aussi étaient mouillées, pour me les coller sur le nez. J’étais vraiment tentée de rouspéter mais en même temps je me disais auprès de qui pourrais-je rouspéter, alors que j’étais totalement offerte à ces deux femmes. La directrice de l’agence est venue s’asseoir sur la table les jambes bien écartées qui reposaient de chaque côté des accoudoirs de mon fauteuil. J’étais ...
    ... en train de réaliser ce qu’elles manigançaient et à nouveau, j’avais les larmes aux yeux ne plus avoir le courage ni l’énergie de rouspéter. Quelques instants après Marie a saisi ma tête pour la plonger sans ménagement entre ses cuisses, rapidement mon visage s’est retrouvé en contact avec sa toison pubienne. Je ne contrôlais plus rien et déjà je sentais l’odeur et le goût de sa cyprine sur mes lèvres ma langue et mon visage, j’étais totalement à la merci de ma directrice.
    
    Moi qui étais venue pour protester contre le harcèlement sexuel de ma collègue Muriel, j’étais maintenant en train de me faire littéralement violer par ma directrice et ma collègue. Finalement le goût de sa cyprine n’était pas repoussant et c’est ainsi que ma langue est partie découvrir les lieux, des lieux très sensibles manifestement aux vues des soubresauts de son corps. Mes mains qui jusqu’à maintenant étaient posées sur mes cuisses ou sur les accoudoirs sont maintenant venues se poser sur les cuisses de Marie. Ces dernières étaient très douces car elle portait des bas voile qui étaient maintenus par une superbe guêpière hyper douce. Je me suis même surprise quand j’ai commencé à lui caresser l’intérieur des cuisses pendant que je lui mangeais sont minou. J’étais surtout en train de réaliser que le dressage qui n’était imposé depuis une bonne heure maintenant, était en train de porter ses fruits. C’est Marie qui réglait la pression de mon visage sur son entre-jambes, finalement c’était très agréable ...
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