Ma mère Marie-Laure - Le samedi
Datte: 21/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: estevesg, Source: xHamster
... première fois que j'avais des pensées i****tueuses, après tout ce n'est qu'un fantasme, je ne faisais de mal à personne et il était si bon de caresser ma queue raide en étant à poil tel qu'elle venait de me voir. Cela décupla mon plaisir, surtout, j'ai honte de la dire, que je me saisi d'une de ses culottes dans le panier de linge sale pour l'enrouler autour de ma verge.
Après avoir éjaculer dans le lavabo je me dis que j'étais calmé pour un petit moment mais il n'en fut rien. Elle m'obsédait bien que sachant qu'il ne pouvait rien se passer entre nous, enfin normalement....
Alors que nous déjeunions je reluquais son cul chaque fois qu'elle se levait de table, il faut dire que son pantalon le moulait à merveille.
Son chemisier bien que fermé jusqu'au dernier bouton ne fit rien pour calmer mon trouble, un des bouton s'était défait et par instant j'apercevais le bonnet en voile et dentelle blanc du soutien gorge maternel.
Nous étions au début de l 'été et après déjeuner, une sieste était de rigueur. Elle me permettrait bien évidemment de me soulager car je bandais à nouveau. Je laissais la porte de ma chambre entrouverte, espérant qu'elle vienne me rejoindre et s'occupe de ma verge qu'elle avait bien inconsciemment mis en érection.
Je l'entendis se lever et mon cœur se mit à battre plus vite, était-ce possible, elle venait me voir. En fait elle se dirigea vers la cuisine pour boire et je pus admirer son cul énorme dans la raie duquel se perdait sa culotte ...
... blanche, ma queue était redevenue molle et je ne parviens pas à la faire durcir à nouveau, il faut dire que cette vision fut brève. Je m'allongeais de façon indécente sur le dos, les cuisses largement ouvertes. Lorsqu'elle revient je gardais les yeux mi-clos et pus ainsi voir ses lourdes mamelles pendantes se ballotter à son pas. Bien qu'étant dans la pénombre je fermais mes yeux lorsqu'elle se dirigea vers ma chambre et je sentis , quelques instants, sa présence dans l'entrebâillement de la porte. Je m'en voulu de m' être fait jouir si vite...elle aurait put admirer son fils en érection, ne sachant pas, évidemment, que c'était pour elle qu'il bandait si fort.
Je finis par m'endormir réellement la fatigue de la balade en vélo et les branlettes aidant.
Lorsque je me leva ma mère était assise au salon vêtue d'une simple combinaison blanche sous laquelle ses seins étaient libres.
-Tu as bien dormi on dirait, mon fils.
-Oui, j'étais fatigué.
-J'ai vu ça, tu dormais comme un bébé lorsque je me suis levée pour aller boire
Nous continuâmes à parler de banalités mais je pouvais m 'empêcher de voir, malgré le tissu, ses seins lourds nus ; leur auréole brune et large. Il est vrai que les tétons pointaient vers le bas et me rappelaient, comme si c'était nécessaire, le mouvement des mamelles blanches entrevues dans le couloir cet après-midi.
-Cela te dit, maman, d'aller manger une glace au bord de la mer, on aura peut être un peu de fraicheur .
-Avec plaisir, et tant pis ...