Un amour d'été
Datte: 19/03/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
inconnu,
oncletante,
fépilée,
vacances,
plage,
ascenseur,
douche,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
pied,
chaussures,
rasage,
pénétratio,
mélo,
Auteur: Joker, Source: Revebebe
... chaude à la sortie du robinet. Ils se séchèrent mutuellement, s’embrassèrent beaucoup. Soudainement sérieuse, Taty Danielle saisit un miroir à main, écarta légèrement les cuisses, fendit les lèvres de son sexe et observa la cicatrice qui avait remplacé la perle fine de son intimité.
— Je veux que tu voies ça, aussi, mon chéri.
Paul était à nouveau gêné par l’impudeur déconcertante et finalement si naturelle de Taty Danielle.
— Mais tu sais, ce sont des femmes qui m’ont fait ça, je n’ai rien contre les hommes fit-elle pour le disculper. Maintenant, je ne suis plus comme toutes les femmes.
— Tu es mieux que toutes les femmes, consola Paul, et je vais te le prouver d’ailleurs, promit-il en la poussant vers les vasques de lavabo.
Il fit pénétrer sa langue dans la bouche de sa partenaire qui engagea un duel passionné. Il lui saisit une cuisse, libérant le passage de son sexe et présenta sa verge reconstituée. Elle respira profondément, chercha son équilibre et se laissa pénétrer. Le gland de Paul se frayait un passage dans le fourreau étroit de Taty Danielle qui geignait et plantait de plus belle ses ongles dans les épaules de son amant.
— Je… je voudrais… je serais mieux… mieux allongée, s’il-te-plaît, glissa-t-elle à l’oreille de Paul, cédant aux assauts de ses coups de rein.
Elle se dégagea, le prit par la main. Sur le seuil de sa chambre, elle poussa la porte et fit une pause :
— Tu es le premier qui entre dans cette pièce, ne me déçois pas mon beau ...
... prince.
Avec infiniment de tendresse, il la déposa dans son lit à baldaquin. Elle prit ses aises, étendit les bras et ne les referma sur elle qu’une fois repue de plaisir, ruisselante et essoufflée.
— Je n’ai plus vingt ans tu sais.
Ils restèrent des heures ainsi, ou peut-être des minutes seulement. Mais le temps ne comptait plus.
Ils furent tirés de leur rêverie par la sonnerie du téléphone cellulaire de Paul.
— Put… , fichu portable, jura-t-il.
— Garage de l’avenue. Votre voiture est bientôt prête. Ah, on a mis un moment pour trouver. Votre filtre à gasoil, oui, oui, c’est ça, complètement colmaté… sûrement une saloperie dans le réservoir. Oui, je vous rappelle quand c’est fini.
Leurs ébats ayant ouvert leurs appétits, ils s’activèrent à la cuisine. Paul était un élève appliqué et Taty Danielle une fine cuisinière. Un agréable fumet s’échappait des casseroles.
Ils s’installèrent sur la table ronde ou ils dressèrent une table de fête. Pour compléter l’ambiance, ils enfilèrent tous deux une djellaba. Paul enfila le bout des pieds dans une paire de babouches trop petites qui lui faisaient des pieds de clown, ce qui fit éclater de rire sa partenaire.
La chambre bleue les accueillit à nouveau pour la sieste. Couchée sur le dos, Taty Danielle immobilisa la main de son amant sur sa poitrine. Elle se répandait en confidences, ouvrant son cahier intime de la première à la dernière page. De longs silences ponctuaient son récit. Elle parlait de ces hommes qui ...