Soumis et bi pour madame
Datte: 19/03/2021,
Catégories:
Anal
BDSM / Fétichisme
Partouze / Groupe
Auteur: rebeu_tounsy, Source: xHamster
nous sommes le vingt octobre, c’est le jour de la fête de ma chérie, Adeline. Son cadeau pour la soirée a été convenu à l’avance, je dois exaucer tous ses caprices, toutes ses folies, ce sont ses propres termes. J’ai accepté, non sans une certaine appréhension, car je la sais parfois excessive.
J’ai été adorable toute la journée, elle n’a rien eu à faire, je me suis occupé de tout dans la maison. Il est vingt heures, nous sommes installés dans le canapé, nous regardons les infos quand, d’un air provocant, elle me dit :
— Bon et bien, il va falloir penser à mes petites envies maintenant !!!
— Heu ... oui ... c’est-à-dire ?
— Tu vas chercher la cordelette dans le chevet de la chambre, tu te mets tout nu et pour le reste, c’est moi qui décide, tu es mon esclave.
— Woua, ça commence bien ton programme, t’es à fond toi ce soir !!!
— Oui et tu n’es pas au bout de tes surprises. File, tu devrais déjà être revenu ! me dit-elle d’un ton très autoritaire.
Je me dirige vers notre chambre pour aller chercher cette fameuse cordelette dont nous nous sommes servis plus d’une fois. Elle est bien rangée, à sa place, dans le tiroir du chevet, prête à servir, au cas ou ... Souvent, c’est Adeline qui me demande de l’attacher, lui bander les yeux ou la bâillonner, moi je n’aime pas trop être attaché, mais ce soir, je lui ai promis donc me revoilà dans le salon avec l’accessoire désiré que je pose sur notre table.
— Déshabille-toi !
Sans autre réponse, je commence à ...
... retirer mes vêtements, d’abord le haut puis les chaussures, les chaussettes, j’entame le déboutonnage du pantalon quand la sonnette de l’entrée retenti.
— Reste ici, ne bouge pas, je reviens.
Je reste, donc, seul dans le salon, torse et pieds nus, le jean à moitié ouvert pendant qu’Adeline va voir qui peut bien sonner à cette heure-ci. Il semble que ce soit un homme d’après la voix que je perçois, d’ailleurs cette voix me semble familière. Adeline revient dans le salon, suivie de Willy, un ami barman travaillant dans un café où nous avons quelques fois nos habitudes. Il porte, sous le bras, un sceau de glace avec deux bouteilles de ce qui semble être du champagne. Chose étonnante, car Willy sait très bien que le champagne me monte trop vite à la tête, par conséquent, je n’en bois jamais, curieux choix connaissant son professionnalisme. Willy me fait la bise comme à son habitude et je le surprends à regarder vers l’ouverture de mon jean. Je suis un peu gêné, car Willy se vante régulièrement d’être bisexuel donc, je décide de rattacher les trois boutons rebelles. Adeline vient vers moi et m’empêche de continuer.
— Je ne t’ai pas dit de te rhabiller !!!
— Mais enfin, ma chérie, nous ne sommes plus seuls.
— Justement, tu dois faire honneur à notre invité. Va chercher trois coupes et ne touche pas à ces boutons.
— Non, juste deux, car moi, le champagne ...
— Raison de plus, tu ramènes trois coupes et n’oublie pas ta promesse.
Je sens l’ambiance étrange, Adeline ...