1. Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée (4)


    Datte: 19/03/2021, Catégories: Lesbienne Auteur: megalosex, Source: Xstory

    Vendredi 3 novembre 1973
    
    Dernier jour de classe de la semaine. Et c’est aussi mon anniversaire. Bozena est, bien sûr, au courant depuis un bon moment. Et elle s’est mise en tête d’organiser ça : « L’anniversaire de sa chérie ! » Je la laisse agir à sa guise. Cela lui plaît tellement. Lundi dernier, elle m’a déjà prévenue :
    
    — Vendredi, nous fêterons ton anniversaire ! Cela se passera à Prostejov, là où tu es née, d’ailleurs. Nous serons chez ma sœur qui nous prête sa maison. Elle sera absente et nous serons donc entre nous ! Prévois de rentrer plus tard chez toi !
    
    Et nous voici en ce vendredi tant attendu. Le beau temps est de la partie, même s’il est très frais. Une fois la classe terminée et les formalités habituelles faites, nous nous préparons au départ. Alors que Bozena s’apprête à sortir la voiture du garage, elle me dit, en souriant :
    
    — Pour le déjeuner, ne t’inquiète pas, chérie, ma sœur nous a préparé quelque chose et moi- même j’apporte ça (elle me désigne un panier en osier sur la banquette arrière).
    
    Puis elle me regarde et prend un petit air coquin :
    
    — Tu as bien apporté ta minijupe, comme prévu, n’est-ce pas ? Alors, si tu la mettais maintenant ? Tu es tellement sexy avec ! Je mettrais le chauffage de la voiture à fond, s’il le faut !
    
    Je lui souris, prends mon sac et retourne dans la maison pour me changer. Quand j’en ressors, je sens le regard de Bozena sur mes cuisses largement dénudées.
    
    — Je te plais comme ça, chérie ? lui dis-je, avec ...
    ... le même sourire coquin.
    
    Quand nous nous garons devant la maison de sa sœur, il est près de deux heures de l’après- midi.
    
    — Nous rentrerons vers cinq heures et demie. De quoi nous permettre de faire tout tranquillement !
    
    Puis nous entrons. Bozena a pris le panier en osier et moi, mon sac. Nous nous dirigeons d’abord vers la cuisine. Sur la gazinière, un potage et une goulache sont là, prêts à être réchauffés. De son panier, Bozena en sort un gâteau :
    
    — Ce sera pour tout à l’heure ! En attendant, nous allons déjeuner. Tu dois avoir faim, n’est-ce pas ? ... Au fait, ma sœur m’a dit que je pouvais monter le chauffage, si je voulais ...
    
    Je la vois se diriger vers une sorte de grand placard. Et quand elle revient :
    
    — Le temps de déjeuner et il fera plus chaud... bien plus chaud.
    
    Ses yeux brillent, et moi je me sens gagnée par l’excitation. Nous serons alors toutes nues ...
    
    Tout au long du déjeuner que nous prenons au séjour, Bozena me lance des regards appuyés.
    
    — Je te plais, n’est-ce pas ? Toi aussi tu me plais ... pour ne pas dire que tu m’excites ! lui dis-je avec fougue.
    
    Je vois Bozena rosir de plaisir. Puis, une fois le café bu et la table desservie, elle me dit, sur le ton de la confidence :
    
    — Je vais à la cuisine, chercher le gâteau que j’ai apporté pour ton anniversaire. Quand je serai de retour ici, je veux te voir toute nue !
    
    Je me lève donc et entreprends de me dévêtir. Et quand Bozena apparaît, portant dans ses mains un plat sur lequel ...
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