Barbara et les Incas
Datte: 19/03/2021,
Catégories:
fhh,
ffh,
hplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
profélève,
avion,
fsoumise,
hdomine,
double,
sm,
BDSM / Fétichisme
Auteur: Karesse31, Source: Revebebe
... tu veux. Cela ne me concerne pas, et si tu ne t’engages pas dans une histoire amoureuse, c’est plutôt avantageux pour moi. J’ai plus de chances de te garder disponible pour moi. Mais sincèrement, si je te bouscule, c’est par affection pour toi. Je te sens malheureux et j’ai l’impression que tu passes à côté de quelque chose. Je ne dis pas que tu dois l’épouser, vivre ta vie avec elle, mais tu dois aller au-delà de tes interdits. L’attirance que vous avez l’un pour l’autre est trop forte. Et puis maintenant, elle ne dépend plus de notre université. Ce n’est plus ton élève ! Je te propose un marché, puisque tu as évoqué ce que tu aimerais me faire sur un divan : je me livre à toi et à toutes tes turpitudes pendant le début de soirée, et après tu seras à moi et obligé de répondre sincèrement à toutes mes questions.
— Cet échange est tentant… Tu seras entièrement à moi ? Je pourrai user de toi comme il me plaira ?
— Totalement ! Je ferai ce que tu voudras ! Je te fais confiance et je sais que tu ne franchiras pas certaines limites que je refuse.
— Je peux aller loin, tu sais…
— Marché conclu ! Je suis prête… mais après, tu passes à l’interrogatoire !
Daniel habitait à deux stations de métro de là. Et un quart d’heure plus tard ils entraient dans son appartement. Dès qu’il eût fermé la porte de son domicile, le professeur s’adressa à sa secrétaire avec une expression moqueuse, presque narquoise.
— Ainsi, tu te livres à moi, soumise à mes désirs, mes pulsions et les ...
... moindres de mes envies ?
— Je suis à toi ; tu peux user de moi comme d’une esclave ou m’honorer comme une reine, je ferai tout ce que tu voudras. Je serai tienne sans limites. Mais n’oublie pas : dès que ton sperme sera versé, ce sera à toi d’être tout à moi et à mes questions.
— En attendant, c’est à toi d’obéir. Viens, suis-moi.
Il l’amena au milieu du salon, mit un disque des Moody Blues, s’installa dans un fauteuil, se servit un vieil armagnac et lui donna son premier ordre :
— Déshabille-toi lentement et harmonieusement.
Rose commença à faire onduler son corps au rythme deNights in White Satin. Elle faisait tanguer ses hanches, remonta ses mains au-dessus de sa tête puis les fit glisser dans son dos pour défaire sa robe. Une fois la fermeture ouverte, elle laissa celle-ci descendre en suivant le balancement de ses épaules, retira délicatement ses bras hors des manches, aida le vêtement à franchir les sommets de son opulente poitrine puis le laissa choir lentement à ses pieds. Perchée sur ses talons aiguilles, encore parée de ses bas sombres, d’une minuscule culotte et d’une guêpière faites toutes les deux de dentelle noire, elle continua à chalouper au rythme de la musique, tournant lentement pour exposer le côté face et le côté pile aux regards concupiscents de son spectateur.
Celui-ci finit par se lever, arrêtant le strip-tease ; il amena une large chaise et la fit s’agenouiller dessus, en appui contre le dossier. Sans un mot, il se saisit d’une corde et ...