1. Celle qui m'a initié


    Datte: 19/03/2021, Catégories: fh, fplusag, jeunes, Oral pénétratio, fsodo, init, inithf, Auteur: FCG38, Source: Revebebe

    ... dressé tel un mât (à dix-huit ans, c’est normal). J’étais tétanisé et ne savais quoi dire, je n’osais pas bouger et la caresse sur mes fesses, du fait de ses effets sur mon sexe, m’empêchait de me retourner. Ces caresses ne cessaient pas et comme vous pouvez vous en douter, mon érection non seulement ne faiblissait pas, mais devenait de plus en plus difficile à maîtriser. Au bout d’une minute ou deux, Annick cessant ses caresses posa ses mains sur mes hanches et d’une pression me força à me retourner.
    
    J’avais donc mon sexe dressé à sa vue, et c’est alors que je me suis rendu compte qu’Annick était totalement nue de la tête aux pieds. Elle n’avait pas fait le voyage pour rien. Annick fixant mon sexe dressé me dit alors :
    
    — Quel bel engin ! Tout à fait comme je me l’imaginais. Il n’y a pas à dire, il faut que je le goûte.
    
    Joignant le geste à la parole, elle s’accroupit, emboucha mon sexe et entama une fellation endiablée. Complètement dépassé par les événements, j’étais sans réaction, et comme c’était ma première fellation, je n’ai pas une seule seconde pensé à m’échapper de cette étreinte délicieuse. Sa langue tourbillonnait atour de mon gland et par pression de ses mains sur mes hanches, elle me faisait aller et venir dans sa bouche. La sensation était merveilleuse. Je dois avouer qu’avec l’expérience, c’est du fait de la nouveauté une des meilleures fellations que l’on ait pu me faire, mais à ce moment-là, je n’avais pas conscience pleinement de ce fait.
    
    Au bout ...
    ... d’un petit moment, mon sexe était si dur que je sentais bien que je ne pourrais tenir longtemps et une onde délicieuse au creux de mes reins m’indiquait que le moment d’éjaculer était imminent, ce dont j’avertis Annick, qui me dit :
    
    — Laisse-toi aller, envoie-moi ta sauce, je n’attends que ça.
    
    Ne maîtrisant plus rien, j’ai donc éjaculé dans sa bouche, et elle est parvenue à avaler tout mon sperme, sauf quelques gouttes qui ont perlé à la commissure de sa bouche. De mon côté, sous l’effet du plaisir, mes jambes se sont mises à trembler nerveusement jusqu’à ce que mon éjaculation cesse. Complètement anéanti par le plaisir, je n’ai pu que dire :
    
    — Annick, pardonne-moi, je ne sais pas ce qui m’a pris, je n’ai pas pu résister !
    
    Ce à quoi elle me répondit :
    
    — Tu n’as pas à t’excuser, c’est moi qui l’ai voulu ainsi, et je te prie de croire que j’ai apprécié, mais je n’en ai pas fini avec toi !
    
    C’est alors que me saisissant par la main, elle m’a entraîné hors de la salle de bain, m’a fait la suivre dans la chambre à coucher, m’a fait tomber sur le dos sur le lit défait. À peine avais-je touché le lit qu’elle est venue s’allonger près de moi. J’étais encore sous le coup de ma jouissance, et je dois avouer que mon esprit n’avait pas encore retrouvé toutes ses facultés. C’est alors qu’Annick se soulevant, s’est positionnée au-dessus de moi en position de 69, et ses mains ont commencé à caresser de manière très douce mon sexe bien ramolli. En même temps, avec sa bouche ...