1. Banquière perverse (7)


    Datte: 18/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... T’es qu’une salope…tu m’as trahi …je te hais ! hurle Lacksimy.
    
    C’est sa fille Lacksimy qui vient de nous découvrir, elle est folle de rage, complètement hystérique ; elle éclate en sanglot et sort de la chambre en claquant la porte.
    
    Moi, je suis aux anges. Je viens de baiser ma banquière et fais chialer sa fille !
    
    Madame se relève, se rajuste maladroitement ; ses seins ne rentrent pas dans son kimono et, comme si rien ne s’était passé ; elle dit d’un ton sec :
    
    — Issam tu vas débarrasser ton appartement et tu habiteras ici, à moins que tu veuilles partir ; tu en as le droit mais je te le conseille pas.
    
    Partir ? Moi, mais elle plaisante ! Je partirai sans doute un jour, mais pas avant de l’avoir ressautée !
    
    — Non Madame, je reste.
    
    — À la bonne heure ! Je n’en attendais pas moins de toi. Dans ce cas je m’occuperai de tes problèmes de banque dès aujourd’hui.
    
    — Merci Madame.
    
    — Ne me remercie pas et n’oublie pas que tu as un contrat. Aujourd’hui tu vas aller débarrasser ton appartement, rendre les clefs à l’agence de location et ramener tes affaires ici. Je vais leur téléphoner pour régler ça.
    
    — Merci Madame.
    
    — Ne m’interrompt pas sans cesse. Ensuite tu vas allez chez l’esthéticienne ; Gladice tu as bien pris rendez-vous ?
    
    — Oui Madame, elle nous attend pour quatorze heures.
    
    — Parfait, tu l’accompagneras et tu en profiteras pour te faire épiler partout ; je vois que ta chatte n’est pas épilée, montre moi tes aisselles ! Je te veux ...
    ... parfaitement épilées partout. Je ne devrais pas avoir besoin de te dire de prendre rendez-vous pour toi et à partir d’aujourd’hui pour Issam.
    
    — Excusez-moi, Madame, je ne savais pas que je pouvais le faire sans votre accord, dit Gladice.
    
    — Pardonnez-moi, Madame, mais je n’ai rien à me mettre ; je ne peux pas sortir ainsi, dis-je.
    
    — Personnellement cela ne me dérangerai pas, mais passons. Gladice tu lui donneras de quoi s’habiller et pas de sous-vêtement, idem pour toi. Issam ! Sache que le port des sous-vêtements est strictement interdit à tous ici, sauf si je le demande.
    
    — Bien, Madame.
    
    — Vous avez la journée pour tout faire, je serai absente ce soir. Demain mon agence sera fermée et vous irez tous les deux y faire le ménage ; Issam, tu as la consigne pour la tenue, c’est marqué dans ton contrat.
    
    — Oui Madame.
    
    — Gladice, j’aurais deux mots à te dire, suis moi. Et toi Issam, merci !
    
    — Bonne journée Madame ! je dis.
    
    Elles partent, me laissant seul ; j’en profite pour retaper le lit et Gladice réapparait, elle fait la moue.
    
    — Que se passe-t-il ?
    
    — J’ai eu chaud à mon cul, si tu ne l’avais pas faite monter au ciel ; j’avais droit au fouet.
    
    — Merde !
    
    — Putain, qu’est-ce que tu lui as mise ! Et moi maintenant, j’ai le droit à un petit encas ?
    
    — Plus tard, quand je serai épilé, tu en auras la primeur ; ça te va ? Au fait, dis-moi : comment connais-tu mon deuxième prénom ?
    
    — Secret ! Tu es vraiment trop naïf, je t’adore. Pour la primeur, ça me va. ...