1. Trixie - chap 3 – Un inventaire très... voluptueux


    Datte: 18/03/2021, Catégories: Sexe Interracial Hardcore, Auteur: Bea-Trixie, Source: xHamster

    ... environ trois ou quatre mètres en arrière. Ma robe s’évasait derrière mes talons aiguilles. J’écartais lentement les genoux, lui dévoilant mon pubis épilé. L’ouverture de mes grandes lèvres n’était pas assez importante, et ne permettait pas à Gérard d’apercevoir la fente de ma chatte qui maintenant mouillait de plus en plus. Tout en comptant, j’écartais lentement un peu plus les jambes, pour qu’il ait un aperçu de la fente humide. Il avait arrêté sa progression et se tenait à trois mètres pour pouvoir bénéficier du spectacle, une grosseur commençait à se profiler le long de sa jambe. J’ y portais les yeux et satisfaite de mon effet, me levais.
    
    J’avisais deux cartons posés l’un sur l’autre, et m’y dirigeais, en chemin, je déboutonnais le troisième bouton du bas de ma robe. Celle-ci n’était plus retenue que par trois boutons et s’ouvrait jusqu’à ma chatte. Maintenant à chacun de mes pas la fente de ma robe s’entrebâillait assez largement sur les bandes de peau blanches et nues striées par les lanières noires du porte-jarretelles. On pouvait même apercevoir le bas de ma chatte. Arrivée près des cartons, je regardais Gérard, celui-ci n’avait pas encore remarqué ce que la robe laissait entrevoir. Je notais qu’il avait l’air chaviré par ce que je lui avais laissé ent****rcevoir, lorsque j’étais accroupie. Il essayait de fixer son attention sur des objets à compter sur l’étagère à côté de lui, mais je voyais bien que ses pensées étaient ailleurs. Nous ne parlions pas. Lui ...
    ... souriant, et lui faisant face, je m’approchais de l’angle d’un carton, et le fis pénétrer dans l’interstice de ma robe. J’en écartais les deux pans et commençais à me frotter le sexe contre la pointe de l’angle du carton. Je continuais à regarder le grand noir, qui tétanisé maintenant me regardait complètement subjugué. Je fis pénétrer le bord saillant du carton entre mes deux grandes lèvres, les petites lèvres s’écartèrent et le pointu pénétra légèrement dans mon vagin. Mes reins eurent un ou deux mouvements d’avant en arrière. Le grand noir, une énorme bosse dans sa jambe de pantalon s’approcha.
    
    Je fis comme si j’avais peur, et partis rapidement vers le bureau. Il me rattrapa, en me saisissant de dos par la taille. Je me tournais vers lui, il se pencha et m’embrassa fougueusement, je lui rendis avec autant d’ardeur son baiser. Il commença à déboutonner les trois derniers boutons de la robe, celle-ci s’ouvrit. Je sentis les deux mains noires parcourir avidement mon corps blanc. Il se recula pour m’admirer, puis il fit glisser la robe par terre. Mon sexe était en nage, mes seins durs comme de l’albâtre et mes tétons qu’il n’avait même pas encore touchés s’étaient allongés d’au moins deux centimètres et demi pointaient hors de bonnets du demi soutien-gorge.
    
    Gérald apparemment satisfait de son examen, défi la ceinture de son pantalon baissa son slip et exhiba son sexe. Celui-ci se dressait fièrement. Je jugeais que pour la grosseur, il était de même taille que celui du vieux, ...
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