Trixie - chap 3 – Un inventaire très... voluptueux
Datte: 18/03/2021,
Catégories:
Sexe Interracial
Hardcore,
Auteur: Bea-Trixie, Source: xHamster
... lui qui me faisait cet effet, sans se douter que quelqu’un d’autre lui avait préparé le travail. Je m’étais renversée sur mon siège complètement abandonnée, respirant par saccades. J’avais maintenant les jambes ouvertes au grand maximum, et j’avais remonté ma jupe plus haut que mes fesses, ce qui offrait une vue magnifique sur mon sexe encadré par le porte-jarretelles de dentelle noire. Gérard avait maintenant trois longs doigts noirs à l’intérieur de ma vulve. Il accélérait les va-et-vient. Je lui saisis la main pour essayer de les faire pénétrer plus profondément en moi. Il y adjoignit le petit doigt, puis se mit avec son pouce à me caresser le clitoris avec de petits mouvements circulaires, je gémissais de plaisir, de temps en temps, il soulevait avec son ongle le petit bouton rose et dur et le grattait tendrement. Il avait une grosseur énorme le long de sa cuisse, il bandait comme un taureau, mais il n’osait pas sortir son sexe. Il me prit quand même la main et la posa sur le velours de son pantalon. Je senti la rigidité du pénis. Je le trouvais moins gros que celui du noir qui m’avait possédée l’autre soir, mais je ne pus avoir une idée de la longueur. Gérald continuait ses va-et-vient et le frottement du clitoris, ses longs noirs disparaissaient entièrement dans mon sexe. Je sentais que suite aux attouchements prodigués par les deux hommes qui venaient de se suivre, je n’allais pas tarder à atteindre la jouissance. Mais je me dis qu’ici, au bureau, ce n’était pas ...
... tellement le lieu pour se laisser aller au plaisir, et surtout que l’heure avait du avancer. Je jetais un rapide coup d’œil à ma montre, il était midi vingt-cinq. Je repris mes esprits, retirais gentiment avec un sourire un peu contrit, la main noire qui était presque arrivée à me faire jouir. Gérald regarda ses doigts luisant de foutre, les porta à sa bouche et les suça voluptueusement en me regardant. Je me levais, rabaissais ma jupe et indiquais à Gérald que malheureusement, il était l’heure et qu’il fallait que je me sauve. Sur mes fesses nues, je sentis que ma jupe devait avoir une grosse tâche de foutre. Tant pis, je mettrais mon sac en bandoulière et essayerais de le positionner à cet endroit, à cette heure, je ne risquais pas d’ailleurs de croiser grand monde pour me rendre sur le parking. Gérald me fit une bise, et me rappela qu’on avait rendez vous au sous-sol ou se trouvait le magasin, cet après-midi pour commencer l’inventaire, et ce, à quatorze heures trente précises …
Après la pause déjeuner, comme tous les jours vers quatorze heures, je retrouvais Maxime pour boire un café. J’avais changé ma jupe tachée et enfilé une robe légère imprimée, se boutonnant sur le devant. Celle que je portais lorsque le vieux fermier des légumes m’avait baisé. Cette robe s’évasait en une légère corolle, et s’arrêtait dix centimètres au-dessus de mon genou. Les deux derniers boutons étaient défaits, ainsi que le dernier du haut qui était déboutonné. Nous étions seuls. Avant de partir, ...