1. "Best of" des phrases douteuses #8


    Datte: 18/03/2021, Catégories: nonéro, Humour perles, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    Voici encore une nouvelle sélection de phrases plus ou moins récentes, qui m’ont fait sourire. Que les auteurs qui se reconnaîtraient ne se révoltent pas, et ne m’écrivent pas, indignés ! Je sais que c’est très facile de se moquer ; d’autant plus que les phrases suivantes sont sorties de leurs contextes originaux.
    
    Désolé par avance pour une ou deux redondances avec le texte de Karl.
    
    Et faites attention, s’il s’avérait curieusement que ce texte vous plaise, mon ami lapinlapin risquerait de vous cataloguer « intégriste adorateur »… Donc, si vous vous sentez faible d’esprit ou trop influençable, arrêtez la lecture…
    
    Comme tous les Polynésiens, je suis bronzé et pèse 78 kg pour 1,81 m.
    
    Je suis accueilli par une jolie asiatique, Melissa, d’une trentaine d’années, de petite taille, mince et bien foutue.
    
    Quel bonheur d’avoir un sexe aussi gros et épais dans l’anus.
    
    J’aurais tellement aimé me faire encore enculer.
    
    Je suis retournée voir Thomas tous les samedis pour me faire enculer.
    
    Ma maison : achetée il y a dix ans, pour une bouchée de pain, elle en vaut maintenant le double…
    
    Heureux, je me laisse aller.
    
    Elle est vraiment experte dans l’art de la fellation, elle a d’ailleurs donnée des cours à Sophie et à Fadila.
    
    En s’allongeant, les doigts de Nathalie et mon sexe se retrouvent libérés.
    
    Cette nuit-là, il me fit sept fois l’amour […] Sa dernière éjaculation fut spasmodique : des limaces jaunâtres coulaient de son méat […] Puis il ...
    ... débanda.
    
    Quant à Mamadou, il ne comprenait pas vraiment ce que je voulais de lui.
    
    Mamadou, musulman, refusa au début de boire, mais on finit par le convaincre.
    
    J’emmenai Mamadou un matin, après une nuit de baise, dans un Décathlon.
    
    Vous ne me croirez pas, mais j’ai vu des bites se dresser sur notre passage et les femmes, j’en suis sûre, mouillaient.
    
    Elle s’est agenouillée devant moi tout en me regardant dans les yeux, a dégrafé ma ceinture, ouvert la braguette, mon sexe jaillit fièrement vers le plafond.
    
    Je passai par ma chambre chercher un préservatif […] Une jouissance inouïe, mon préservatif lui, était resté dans ma poche de pantalon.
    
    En ce qui me concerne j’étais habillé d’une façon assez classique : pantalon noir, chemise noire, veste noire… Peu de fioriture chez les hommes.
    
    Je dois avouer que nos deux cœurs battaient à tout rompre. […] Je dois avouer que mon regard s’est longuement attardé sur Aurélie. […] Dans ces moments-là, je dois avouer qu’on ne juge pas de la banalité de ce qui est dit, on essaie de se détendre comme l’on peut. […] Pendant tout cet échange, je dois avouer qu’Aurélie ne cessait de regarder Laurence. […] Je dois avouer que la vue plongeante qu’elle m’offrait sur sa poitrine a provoqué un profond émoi en ma personne. […] Je dois avouer que je dus arrêter ce plaisir au bout d’un certain temps. […] Je dois avouer que cela ne me déplut absolument pas.
    
    Ma conjointe fit de même, tournant sa tête vers l’arrière.
    
    S’enhardissant, il sortit sa ...
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