1. Le chenil (6)


    Datte: 07/05/2018, Catégories: Zoophilie, Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... de libérer sa bite de son carcan de cuir. Il bande deux fois plus et, connaissant Margot, celle-ci n’hésite pas. Elle se couche et l’avocat, en guise de récompense, peut la baiser. Et il se donne avec tendresse sur le corps de sa Maîtresse. Bien entendu, Isabelle débarque avec ma caméra chargée à bloc. Dans la cuisine, je me mets à table, j’ai une faim de loup. Colette s’assoit près de moi, sa tête sur mon épaule. Elle fait signe à Karine de se glisser entre mes jambes. Cette petite coquine en pince toujours plus pour moi et ma Colette. Cela dit, elle ne délaisse surtout pas sa Maîtresse. C’est aussi ce qui nous soude tous les quatre.
    
    Dehors, les chiens sont tous excités en entendant Margot prendre son pied avec l’avocat soumis. Sur son tout-terrain, six soumis en cage se branlent. Isabelle a tôt fait de mettre le holà à cette branlette collective.
    
    Enfin, la journée commence réellement dans le calme. Trois et six, cela fait neuf soumis à gérer. Pour Maîtresse Malvina, c’est une chose aisée que de s’occuper de ses soumis. Pendant que je me remets à l’œuvre dans mon atelier, Margot me dévoile ses secrets pour dominer ces mecs en mal de sensations parfois terriblement douloureuses. Parmi les enclos, il y en a un qui prend son pied, et quel pied ! Il ne cesse de bramer son bonheur. Lui, je crois que s’il continue ici, on ne va plus pouvoir s’en débarrasser et en voyant Colette le mater, la soumission de cet homme semble lui plaire au point de vouloir en faire sa chose. ...
    ... Entre nous, ce n’est, de loin, pas pour me déplaire.
    
    Je viens de terminer une nouvelle niche. Je la destine à cet enclos du fond. C’est là que nous allons mettre dans une sorte de quarantaine, tout nouvel arrivant. Oui, la semaine passée, la police nous a amené un chien mal en point. Cela fait dix ou douze jours qu’on le soigne. Même, notre vétérinaire devient chaque jour plus optimiste en le voyant reprendre de la vigueur et ne plus avoir peur de Colette ou de moi. Cela étant, il n’est pas encore prêt pour baiser ma Colette ou toute autre femme.
    
    Margot nous réserve encore une surprise. De la banquette arrière de son gros véhicule, elle nous sort un couple lié ensemble par une laisse qui court d’un collier à l’autre. Devant nous, elle arrache le bout de tissu qui leur sert de vêtement.
    
    — Voilà mes derniers. Eux, je les ai pris pendant qu’ils voulaient me voler dans mon sex-shop. Il ne m’a fallu que trois heures pour les amadouer et les rendre très dociles. Du coup, je me suis dit qu’un séjour chez vous pour remplacer l’un ou l’autre, ne pouvait que leur faire du bien. Elle, c’est la pute, elle est relativement bonne pour faire le ménage. Par contre, pour te faire à manger, c’est une véritable empoisonneuse, nulle à chier. Lui, c’est la chose, il dit être maçon. A toi de voir mon biquet.
    
    — OK, mais n’as-tu pas dit avoir un sex-shop ?
    
    — Si, tu ne le savais pas ?
    
    — Ben non. Mais dis-moi, aurais-tu quelques catalogues du genre : comment faire pour que Karine et ...
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