1. La salope de l'autoroute


    Datte: 15/03/2021, Catégories: Hardcore, Anal Mature, Auteur: jply, Source: xHamster

    Pris sur le net
    
    Ici Maurice, routier et fan d’Union depuis bientôt dix ans. On rencontre sur les routes de bien belles femmes qui n’y connaissent rien avec un cric, mais qui savent y faire avec un chibre !
    
    Hélène était du genre pas très à l’aise niveau mécanique. J’ai pu le voir direct quand je l’ai repérée au bord d’une départementale du Sud-Ouest. Elle s’était garée sur une aire de pique-nique où je m’installe quand je suis dans le coin, histoire de faire une sieste avant d’attaquer la route de l’Espagne. Elle n’était pas là pour roupiller mais pour changer son pneu complètement à plat.
    
    Je suis descendu de ma cabine et je l’ai d’abord reluquée sans un mot. Une brune la quarantaine et surtout bien conservée, avec des rondeurs qui faisaient plaisir à voir. Et le top du top, c’est que comme elle était accroupie, on voyait son joli string rouge qui dépassait de sa minijupe. J’ai eu d’un coup envie de tirer dessus avec les dents !
    
    J’ai fini par m’approcher et j’ai dit : « Je peux peut-être vous aider ? » Elle a sursauté et est tombée le cul par terre. Puis elle a levé les yeux vers moi et a éclaté de rire. J’ai rigolé moi aussi. On a commencé à papoter. Elle venait dans la région voir une cousine et avait déjà enquillé pas mal de bornes. Son pneu avait lâché et elle n’était pas foutue de se débrouiller seule au milieu de cette pampa.
    
    J’ai pris les opérations en mains, et en vingt minutes c’était plié. Je me suis alors préparé à dire au revoir à Hélène mais elle ...
    ... avait une autre idée en tête. « Je voudrais bien vous remercier, sans vous j’étais là pour la nuit. Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ? » Elle avait dit ça avec un drôle d’air, en se tortillant dans sa jupe. Sans trop réfléchir, j’ai répondu : « Et bien, je pourrais vous faire voir le camion et ensuite on ira prendra un café au village d’à côté. » Elle a eu l’air content et elle m’a suivi.
    
    À peine avais-je fermé la porte de la cabine que la cochonne s’est jetée sur moi. Elle a commencé à m’embrasser comme une sangsue. Je ne l’ai pas arrêtée dans son élan : je n’avais pas piné depuis un moment et ça me démangeait dans le futal. On s’est installés sur la couchette et elle a continué ses papouilles. Très rapidement, je l’ai dirigée plus bas, vu qu’on n’était pas là pour vivre une histoire d’amour.
    
    J’ai baissé mon jean et je lui ai mis ma bite sous le pif. Je suis du genre bien monté et je sais l’effet que je fais aux dames avec ma queue… Ça n’a pas loupé, elle a poussé un petit cri de joie et s’est jetée dessus comme la misère sur le pauvre monde. Je n’avais pas pris de douche depuis la veille et elle n’a pas dû être déçue du voyage… Mais Hélène n’a pas bronché, se contentant de me faire reluire le casque mieux qu’une professionnelle.
    
    Pour la baiser, je n’ai pas pris de gants. Je l’ai installée à quatre pattes sur la couchette du camion, j’ai relevé sa jupe et je lui ai craché dans le derche après avoir écarté la ficelle du string. Elle a rechigné au début, mais j’ai joué ...
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