1. Cousine Charlotte


    Datte: 06/05/2018, Catégories: fh, ff, couple, Inceste / Tabou piscine, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, pénétratio, init, Auteur: Eurydice Jenkins, Source: Revebebe

    ... femme qui le servait pour ne pas se laisser aller immédiatement à son plaisir. Il saisit les mains de Charlotte, la fit se redresser, se retourner, s’appuyer à la commode et se baisser en avant. Les fesses encadrées par la jupe remontée étaient fermes et rondes. La fente humide brillait un peu plus bas. L’homme porta ses mains sur les deux globes de chair, les écarta, contempla l’écrou sombre qu’il avait souvent eu l’envie de pénétrer sans jamais convaincre sa femme de le lui céder.
    
    — Tu le veux ? lui demanda Charlotte. Prends-le. Fais-moi éclater… le cul ! termina-t-elle en trébuchant sur le mot vulgaire.
    
    Fabien sourit. La phrase était sortie sous un effort évident. Mais il n’allait pas profiter immédiatement de cette offre qui pourrait rompre le charme.
    
    — Oui, mais pas tout de suite, écarte un peu les jambes, ma chérie…
    
    Elle obéit, redressa les fesses, offrant plus largement son sexe au regard et, conséquemment, au sexe tendu qui cherchait son chemin.
    
    Fabien caressa l’entrejambe de la femme avec délicatesse, patience et compétence. Elle commença à gémir petit à petit, puis plus fortement. Elle ramena soudain l’une de ses mains à son corsage et ouvrit rapidement les boutons qui enfermaient ses seins. Ceux-ci surgirent et, de par la position penchée de la femme, étirèrent bientôt les attaches. La sensation était presque celle d’un homme jouant avec les globes.
    
    Elle se concentrait sur la sensation offerte par son buste lorsqu’elle sentit le sexe de l’homme ...
    ... s’introduire impérieusement dans son intimité.
    
    Le reste ne fut que plaisir, gémissements, perte momentanée de conscience. Lorsqu’elle revint à la réalité, elle se vit entièrement couchée sur sa table à maquillage et sentit que l’homme était toujours planté en elle.
    
    — Tu n’as pas joui ? fit-elle, étonnée de ne pas ressentir les habituels indices du plaisir masculin.
    — J’attendais que tu sois consciente… Je n’allais pas arriver sans que tu puisses participer…
    
    Il se retira. Charlotte se redressa, se retourna. L’homme était là, devant elle, nu, le pieu toujours dressé et maintenant vernissé de ses humeurs intimes.
    
    — Comment veux-tu y aller ? demanda-t-elle.
    — Je te laisse le choix, répondit–il.
    — Tu veux mon derrière ? Ma bouche ? Ma main ? Ma chatte ?
    — Je te laisse le choix… répéta-t-il.
    — J’ai envie d’elle. J’ai envie de la voir jaillir… Viens.
    
    Charlotte se dirigea vers le lit, s’assit au bord, attira son mari vers elle. Le sexe tendu se balançait légèrement devant ses lèvres. Elle saisit la hampe à deux mains. Ce sexe n’était pas spécialement long, ni énorme en diamètre, mais ses deux mains saisissaient l’ensemble sans en laisser échapper un millimètre.
    
    Elle plongea sur le sexe et le saisit dans sa bouche. Le goût la surprit, jusqu’à soudain se souvenir que l’organe portait maintenant le goût de ses propres humeurs féminines. Elle ne les connaissait pas mais n’en fut pas dégoûtée.
    
    Les gémissements de l’homme se firent plus intenses. Charlotte posa une ...