Moi, Florence - Histoires de Sexe

Moi, Florence

... replongeait en moi. Mes fesses étaient « ouvertes ». Jamais Patrick n’avait connu une femme avec un cul aussi accueillant.

Je subissais avec délectation les assauts de l’homme dans mes fesses. Il me pourfendait, me possédant totalement. Plus il me défonçait, m’arrachant des râles de plaisir, et plus j’en redemandais. Cambrée, je me faisais enculer avec délectation. Au bout d’un long moment, il me prévint qu’il allait venir. Je me dégageai alors, sentant un vide lorsque la queue, longue et puissante, sortit de mon petit trou, et lui demandai de jouir dans ma bouche. Il obéit et éjacula de longues giclées de foutre dans ma gorge. J’avalais en hoquetant la semence abondante de mon étalon d’amant.

Après nous être rhabillés, nous profitâmes du beau temps à côté de la voiture. Mais rapidement, Patrick me dit qu’il avait encore envie de moi avant de retourner au travail. Pour me le prouver, il se débraguetta à nouveau. Il ressortit son outil à plaisir. Il bandait de nouveau !

Je repris en main le sexe de taureau de mon nouvel amant. Je m’agenouillai pour le sucer, léchant ses couilles encore pleines. Mais rapidement, je le voulus autre part. Je me relevai, ôtai d’abord mon slip puis ma jupe. À moitié nue, je me mis devant la voiture. Puis, me penchant en avant, les seins sur le capot, je dis à Patrick en lui exhibant mon cul tendu et déjà offert :

— Encule-moi !

Ce dernier ne se fit pas prier. Il se colla contre moi et me pénétra sans plus de préliminaires. Sa grosse ...

... queue s’enfonça cette fois-ci sans problème dans mes fesses. Et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il était à fond de mon cul. Patrick me sodomisa pendant près d’un quart d’heure. Il m’enculait profondément, me pénétrant de toute la longueur de sa grosse queue. Plus il allait et venait en moi, distendant mon anus, et plus j’appréciais et l’accompagnais, me cambrant et me tordant sur l’engin qui me déchirait les fesses.

Mes seins lourds, comprimés dans mon soutien-gorge, me faisaient mal, tellement ils étaient durs. Ils tressautaient au rythme des ruades de l’homme dans mes fesses. Puis, à bout, Patrick rua une dernière fois en moi, et éjacula dans mes fesses, son pieu planté au fond de mon cul, tandis que je jouissais avec force.

Une fois rentrée au bureau, et mon amant parti en rendez-vous à l’extérieur, je dus passer deux fois dans l’après-midi aux toilettes pour me calmer. J’eus deux orgasmes uniquement en venant caresser de la main mon anus encore ouvert. Le simple souvenir des deux sodomies intenses que j’avais subies peu avant, me faisait mouiller comme une folle. J’avais du mal à me tenir assise sur ma chaise tellement mes fesses me démangeaient…

En rentrant chez moi le soir, j’eus soudain envie de réaliser un autre de mes fantasmes. Je m’arrêtai sur un parking désert et ôtai mon slip et ma jupe. Là, à moitié nue, je m’accroupis entre les deux sièges avant de ma voiture, que j’avais reculés au maximum. J’étais juste au-dessus du levier de vitesse ...