1. Enterrement de vie de jeune fille


    Datte: 14/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jean-Pierre, Source: Hds

    ... Mesdemoiselles et Mesdames… Nous sommes honorés de vous avoir présenté ce numéro, j’espère que ça vous a plu…
    
    Un tonnerre d’applaudissements et de cris nourris lui prouve que nous avons apprécié les exercices de haute voltige qu’ils ont réalisés devant nos yeux. Mais il reprend la parole, son jonc vigoureux toujours dressé devant lui :
    
    - Maintenant je vous demande de me montrer à tour de rôle votre portable pour en effacer les photos prises et comme gage à celles qui ont enfreint le règlement, elles devront me prendre en bouche !
    
    Nous nous regardons, ravies d’avoir le privilège de toucher l’instrument de l’artiste. C’est au tour de Catherine de commencer. Elle branle cette grosse verge à deux mains, elle renifle le gland pour en prendre plein les narines, sentant l’odeur de la bite et des chattes de ses comparses. Elle sort sa langue et parcourt le chapeau chinois, comme s’il s’agissait d’une boule de glace à la fraise. Elle gobe son gland. Arrivée à mi-chemin qu’elle doit stopper, car elle ne peut plus rien avaler. La tête doit lui toucher les amygdales. Elle commence une fellation, il est rare de croiser une matraque comme celle-là, ça sera peut-être la seule fois de sa vie.
    
    C’est maintenant le tour de Véronique, elle prend en main son pieu toujours aussi dur et bien plus gros et long que celui de son mari, (que je connais mais elle ne le sait pas). Lentement elle branle cette superbe colonne de chair, les yeux fermés. Ses lèvres se posent sur l’objet. Puis ...
    ... elle se retire avant de recommencer cet exploit infernal. L’artiste ne peut retenir des gémissements sous ce terrible supplice. Elle le regarde et ses yeux ont l’air de lui demander :
    
    - Tu aimes?
    
    C’est enfin mon tour. Devant mes yeux ébahis se dresse le membre viril gonflé. Je n’aurais jamais imaginé être confrontée à un membre plus important que celui de mon époux. Il est vrai que je n’ai pas eu beaucoup d’aventures. Si mon mari possède une verge que j’ai toujours considérée de bonne taille, celle devant moi m’apparait démesurée.
    
    J’essaie de m’imaginer le plaisir qu’une femme doit ressentir à être pénétrée par un monstre d’une telle dimension. Je repousse délicatement la peau qui recouvre le prépuce afin de dégager complètement le gland gonflé et me jette frénétiquement sur son membre dur comme l’acier et doux comme la soie. Je l’engloutis jusqu’au plus profond de ma cavité buccale mais dois abdiquer comme les copines, je peux à peine bouger ma langue. Il est monté comme un mulet, c’en est effrayant, comment une fille peut-elle accepter. Tout à mes réflexions, je reste sans réagir alors dans un grognement de réprobation, il projette son bas-ventre en avant, me faisant ainsi comprendre son impatience.
    
    Déchiffrant le message, j’entreprends aussitôt d’agiter ma main refermée comme elle le peut sur la partie de la hampe que je ne peux absorber, la faisant coulisser le long de cette virilité orgueilleuse. Durant quelques minutes mes doigts s’activent le long de la verge ...
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