Evolutions (30) - Histoires de Sexe

Evolutions (30)

... accouplement dure une dizaine de minutes, et il se termine lorsque le vagin de mon petit bout de femme est pris de spasmes, tandis qu’elle pousse un gémissement orgasmique, tout en se cambrant pour venir à ma rencontre et en nouant ses jambes autour de ma taille. J’éjacule alors en elle en poussant un grognement de satisfaction, puis nos deux corps s’affaissent et je pose mon menton sur son front.

Nous restons quelques instants immobiles, mais alors qu’après avoir posé cette fois ma tête à côté de la sienne, je fais mine de bouger de là, estimant que mes quatre-vingts kilos doivent l’écraser, mon amante me retient en appuyant plus fort ses mollets contre mes reins, et elle me dit :

— Ne te sauve pas mon Amour. J’aime lorsque tu me couvres après m’avoir fait jouir.

— Mais je suis lourd...

— Oui, et c’est ce qui me plaît. Parce que lorsque tu pèses sur moi de tout ton poids, j’ai l’impression que nous ne faisons qu’un, encore plus que lorsque nous sommes enlacés.

Cette idée me plaît énormément, pourtant et au risque de briser cet instant de pur romantisme, je ne peux pas m’empêcher de répliquer avec humour :

— Alors je vais rester un peu, et si je m’endors, tu n’auras qu’à me mordre l’oreille pour me réveiller.

Alice se met alors à pouffer de rire, je me joins à elle, et au bout d’une dizaine de minutes, elle dénoue les jambes pour les poser à plat sur le lit, me signifiant en le faisant que je suis autorisé à changer de position. Par conséquent, je roule ...

... sur le côté en l’entraînant cette fois encore avec moi, et nous nous endormons en nous faisant face.

₪₪₪

Pourtant, lorsque je me réveille le lendemain matin, Alice est à nouveau sur le dos, et je souris en entendant ses ronronnements de chatte. Elle ne tarde pas à se réveiller, et j’ai droit comme à chaque fois à un magnifique sourire quand elle se tourne vers moi, mais ce dernier devient ironique lorsque je lui dis :

— Bonjour ma Chérie. De quelle manière vas-tu me torturer ce matin ?

Elle répond tout en me caressant tendrement la joue :

— J’ai d’autres ambitions que de te faire souffrir, mon Amour. Par conséquent, je te laisse le choix des armes.

Aussitôt, je me mets assis sur le bord du lit, en lui tournant le dos, et elle s’exclame :

— Hé !! Tu vas où là ?!

— Mais pour l’instant nulle part ma Chérie, c’est toi qui vas venir te mettre à califourchon sur moi, comme ça, nous pourrons nous emboîter en nous regardant.

Il ne lui faut pas bien longtemps pour se lever, et une fois qu’elle se tient debout face à moi, en constatant que mon sexe est toujours flasque entre mes jambes, elle me dit amusée :

— Moi qui croyais que les hommes ont toujours la trique le matin, soit c’est une légende soit tu es différent des autres.

Je lui réponds sur le même ton :

— Ma queue attend patiemment qu’une grosse cochonne se décide à s’occuper d’elle.

Mon petit bout de femme s’agenouille alors devant moi en me fixant du regard, et elle lèche mon sexe qui peu à ...