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Obsessionnellement vôtre
Datte: 12/03/2021, Catégories: Masturbation Auteur: scribouillard, Source: xHamster
J’écris nu, seul et rude, et ma verge levée Célèbre toute femme, existante ou rêvée, Une main au clavier, de l’autre me branlant, De mon fantasme vient le plaisir sur le gland. Tout éveillé, je rêve aux délices femelles D’épidermes rosés, du charme doux des belles Qui se sont dévêtues, sans crainte ni pudeur Afin de nous montrer leur extrême splendeur. La brune est bien mignonne et la blonde est sublime. La rousse est fantastique, un as de pique en prime Comme un pur crépuscule aux reflets enflammés, Fleur de féminité aux poils si parfumés ! Voyez, mes chers amis, ma bandaison pour elles, Hélas, si loin de moi, ces amours sensuelles Que je brûle d’étreindre et me consume ainsi Dans le feu ravageur de mon pénis durci. Où êtes-vous cachées, muses inspiratrices, Qui traversez l’éther, saintes et tentatrices, Les bras ouverts de joie sur d’infinis bonheurs Que je peloterais de mes doigts fouineurs ! Laissez-moi sangloter pendant que j’éjacule. Même si vous trouvez l’élégie ridicule, Je répands ma semence au rose des pixels Comme un flux blanc et chaud de désirs torrentiels. Ayez pitié de moi pris de folie nocturne : Laisseriez vous glisser mon membre dur dans l’urne Dont l’ouverture humide est le fabuleux Graal Où a saigné le Christ en ce trou vaginal ? Je lécherai vos pieds, et me ferai l’esclave De mes reines d’amour, Aphrodites suaves, À genoux, dénudé, vous pourrez me punir ...
... : Mon extase sera, pour vos yeux, d’agonir. Tout ce que vous voulez, mais pas l’indifférence : Voyez mon braquemart en pleine turgescence ! C’est un songe maudit où vous me dévorez En pleine adoration pour vos corps révérés. Mon regard s’est perdu dans le noir orifice Abricot de douceur, fente triomphatrice Où ma langue balaie jusqu’au mont Clitoris Puis les nymphes ouvertes ainsi que de longs lys. Je veux boire le suc jusqu’à la goutte ultime Le nectar fabuleux de cette coupe intime Si rare et précieux qu’il doit rendre immortel : Je n’aurai plus faim si je consomme ce miel. Une vulve excitée c'est la mer en furie Lorsqu'elle attend nue quelques cajolerie Dans des moiteurs de chair salée sous les embruns De leur humidité sous les poils blonds ou bruns. Une vulve excitée vous prend comme un naufrage D'un océan d'été qui écume de rage Où jusqu'aux profondeurs du gouffre vaginal Vous avancez vers le paradis infernal. Qui veut que je la suce au milieu des cuisses ? Qui m'en fera l’aumône : une chair de délices Afin de m’éviter de trépasser de faim En m’offrant le festin le plus doux, le plus fin ? Je veux mourir ainsi : la tête bien fourrée Au sexe féminin, profondément ancrée Jusqu’au saint de vos seins, obscessionellement ? Crever, je le veux bien, mais vaginalement ! Tout corps féminin nu est un jardin de roses. Dans un enchantement, la volupté explose En gerbes de splendeur et de ...