1. Vampires


    Datte: 12/03/2021, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: byromane, Source: Literotica

    ... canapé.
    
    Je voulais faire le tour de cette maison étrange. Je sortis du lit et frissonnais. Je passais mon manteau sur ma peau nue et sortit de la pièce.
    
    Je ne reconnaissais plus les lieus. Il n’y avait qu’une porte d’entrée qui donnait sur un perron et des escaliers. Maintenant, je me trouvais dans un immense couloire éclairé de candélabre. Je pénétrais dans un petit salon où crépitait un feu de cheminée. Il y avait une immense bibliothèque. Les livres semblaient anciens. J’en pris un et découvrit sa date de parution : 1718. Comment un livre aussi ancien était-il parvenu en si bon état jusqu’à nous? Ce n’était pas le seul.
    
    Je trouvais un album photo et ce que j’y trouvais me stupéfia. Il y avait d’abord des photos de tableau puis des photos plus récentes. Je découvris la sœur et le frère à travers les siècles. Je reconnus un peu la patte de Velázquez. Il est fou comme leur descendant se ressemblaient. J’avais fait l’amour avec des copies conformes de personnages ayant vécu en Espagne il y a très longtemps. Je retrouvais même le petit tatouage qu’elle avait sur le cou. C’était très étrange.
    
    Un long râle me tira de l’album. Je retournais dans le couloir. Les bougie brûlaient toujours sans qu’elles ne diminuent. Il y eu de long gémissements venant de la chambre. Je m’y rendis doucement et pénétrais à l’intérieur. Je trouvais alors le frère besognant avec délicatesse sa sœur. Visiblement, l’inceste n’avait pas sa place ici. Je pris place dans le canapé et les ...
    ... regardais faire l’amour. Je fus à nouveau tiraillée par le désir. J’ouvris mon manteau et me caressais intimement. J’étais fascinée par le superbe pénis du frère. J’y avais goûté moi aussi.
    
    Ils jouirent à l’unisson elle le retenant des ses cuisses afin qu’il la remplisse de son sperme.
    
    Il quitta les bras de sa sœur et s’habilla. Il me regarda nue dans le canapé.
    
    -Je dois partir. Je pense que l’on se reverra. »
    
    Il sortit de la pièce.
    
    La belle dormait profondément. Je décidais de partir, les sens repus. Je passais mes affaires. J’embrassais la belle Camilla et quittais la pièce. Le couloir avait disparu, laissant la place au perron et à l’escalier. Je rentrais chez moi la tête pleine de questions.
    
    Trois jour plus tard, j’éprouvais le désir de la revoir et de m’abandonner dans ses bras. Je revins à la maison, mais à mon grand désarroi, elle avait été détruite. J’appris par les gens du quartier, que la maison était détruite depuis plus de deux ans. J’étais de plus en plus abasourdie.
    
    Un mois plus tard, je ressentis des crampes dans mon ventre. Je commençais à avoir des vertiges, à vomir, tous les symptômes d’une femme enceinte. Pourtant la gynécologue était formelle, pas de trace d’embryon. Je sentais que je me transformais. Mes seins prenaient de l’ampleur, mon acuité visuel se développa, de sorte que je voyais mieux la nuit, et mon ouïs également. Je devais émaner quelque chose, parce que les hommes et les femmes se retournaient sur mon passage. Je sentais leurs ...
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