Folies en rut majeur (8)
Datte: 11/03/2021,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... poitrine accessible et alléchante. La situation le mettait en alerte, il bandait de plus en plus fort, mais cherchait toujours du regard les éventuels voyeurs. Gabriel se courbait également et ses lèvres attrapaient les bourgeons qui gonflés, n’attendaient que leur visite. Il se mettait à les aspirer, les maltraitant presque entre ses dents serrées. Aline gémissait, mais laissait son mari mordiller les fraises tout en persistant sur la liposuccion de sa bite. Les deux amants s’apprêtaient à faire l’amour, là, au milieu de nulle part, entourés d’une végétation à l’agonie. Les hautes herbes ne cachaient plus rien des formes de la belle.
Si des types les regardaient, ils se montraient fort discrets et l’homme n’en demandait pas plus. Il s’apercevait que cette exhibition lui donnait sacrément envie. Ce n’était pas Aline qui s’en plaindrait. Le pantalon qu’elle avait mis pour cette flânerie venait aussi de rejoindre les vêtements de son mari, à quelques mètres du lieu de leur péché. Ni l’un ni l’autre ne pouvaient deviner que plusieurs paires d’yeux suivaient avec attention tous les gestes de leurs amours champêtres. Bien sûr que deux ou trois gaillards avaient sorti leurs chibres à bonne distance du couple, mais ils restaient à l’abri, sous le couvert des fourrés environnants. Mais l’interruption des ébats ne venaient pas de ces voyeurs discrets, non c’était une armée de fourmis rouges qui obligeât les acteurs de la scène à se replier rapidement vers un endroit… moins ...
... peuplé.
Ils riaient comme deux fous, mais n’était-ce pas cela en fait ? Deux dingues qui comme des gamins voulaient s’envoyer en l’air dans un endroit où les insectes étaient rois ? Ils se précipitaient vers la forêt toute proche avec à la main leurs nippes. Et leurs pas les amenèrent vers un chalet destiné aux chasseurs. Celui-ci n’était pas non plus visible et la porte restée ouverte les incitait à y pénétrer. Comme deux gosses, ils se caressaient de nouveau, mais cette fois abrités et loin de ces sales bestioles qui avaient piqué leur derrière. Gabriel allongeait sa belle sur la table qui occupait les trois quarts de l’espace de la seule et unique pièce. Aline fermait ses yeux et se laissait aller. Un long massage s’en suivait. Elle adorait cette nouvelle forme de caresse et se gardait bien de dire un mot. La peur de briser le charme la retenait de faire le moindre geste, d’esquisser la moindre plainte.
Les préliminaires duraient depuis quelques minutes déjà et l’homme, lentement, attirait les fesses de son épouse au bord du tablier de bois. Elle sentait ses talons soulever par les mains de son mari et quand il la pénétra, elle soufflait juste un peu. Il débutait alors un long rodéo s’acharnant sur ce sexe largement dilaté par la taille de la bite qu’il y avait introduit. Elle commençait à hurler de plaisir quand soudain, une tête apparut derrière le carreau de l’unique fenêtre du chalet. Le voyeur audacieux rezieutait avait un large sourire et il faisait un clin d’œil à ...