1. L'initiation


    Datte: 11/03/2021, Catégories: fh, fplusag, fête, anniversai, intermast, Oral pénétratio, init, prememois, inithf, Auteur: William 2, Source: Revebebe

    ... le goût de son excitation.
    
    Moi aussi je sentais entre mes jambes mon excitation grandissante et bien présente, maintenant. Je quittai son sexe en remontant sur son ventre vers ses seins et partis à l’ascension de ces monts. Le sommet atteint, je m’attardai encore sur ses tétons que je ne me lassais pas de voir tendus et fermes. Mon corps allongé sur le sien, il me suffit d’un petit mouvement du bassin pour que mon sexe entre en contact avec le sien, puis un autre petit mouvement pour le plaquer au sien. L’envie de la pénétrer était à présent trop forte. Après quelques tentatives, je trouvai l’accès à son trésor. Je m’enfonçai avec délice dans ce fourreau qui m’accueillait avec bienveillance.
    
    J’avais bien l’intention de faire durer cette union, et je m’employai avec douceur. Avec de longs et lents mouvements de va-et-vient, je glissais en elle. Sophie était toute à moi, et ce sentiment me troublait profondément. Je m’imprégnais de son odeur, de sa douceur, de sa nonchalance, des mouvements délicats de son corps en réponse à mes assauts. La raison faisait de plus en plus place à la passion, une passion charnelle irrésistible.
    
    J’accentuai les mouvements, plus vite, plus fort. Je ne pouvais plus me contrôler ; je la prenais sans retenue, avec force. Rapidement, le point de non-retour fut atteint. Je n’étais plus moi-même, seul le désir m’animait. Je sentais mon sexe battre en elle, l’explosion était imminente. J’essayai de me retenir, en vain, et je finis par jouir ...
    ... en elle. Sophie enroula ses jambes autour de mon bassin pour me garder en elle, et je m’écroulai sur son corps, la tête entre ses seins, secoué par les spasmes de mon sexe.
    
    Je restai gisant sur elle, essoufflé, désorienté. Les mains de Sophie parcouraient mes cheveux, et je reprenais mes esprits peu à peu. Je me sentais si bien contre son corps si apaisé ; cette situation était arrivée si vite. C’était si surprenant que cette femme, une vraie femme avec un corps de femme, soit là sous moi, qu’elle soit venue me rejoindre à ma grande surprise. Qu’elle se soit offerte à moi. Pourquoi m’avait-elle choisi, malgré mon inexpérience ? En tout cas, elle était là, sa peau contre ma peau, et je ne voulais pas que cela s’arrête.
    
    Il était temps malgré tout de la laisser respirer elle aussi. Je me séparai de son corps pour m’allonger à ses côtés ; elle en profita pour se coller à moi, ses seins sur mon torse, sa tête dans mon cou, une jambe entre mes cuisses. Je posai mes mains sur elle et l’enlaçai.
    
    Le matin à mon réveil, j’étais seul : Sophie avait disparu. Je me levai et descendis, guidé par les voix qui montaient du rez-de-chaussée ; les amis étaient là autour de la table du déjeuner. Sophie apparut. Elle avait revêtu sa tenue de femme sage, et ses cheveux étaient attachés. Me voyant, elle me sourit. Est-ce que j’avais rêvé ?
    
    Au cours de la matinée, chacun partit tour à tour. Sophie était parfaite dans son rôle de maîtresse de maison ; elle était bien loin du rôle de la ...
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