1. Une mère exemplaire ! (3)


    Datte: 10/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... ta mère, nous deux.
    
    — Clémence, je t’interdis de dire ça de ma copine... Sabine est... est... innocente.
    
    — Bon OK. Vous voulez savoir ? Et bien à propos de ma mère...
    
    Et le jeune homme expliqua toute la situation, devant les deux femmes hallucinées, mais avec un air de lubricité sur le visage. Quand Marc avait senti qu’elles lui tiraient les "vers du nez", il avait d’abord eu envie de les envoyer paître. Et puis, en matant les poitrines des deux femmes, il s’était dit que ces deux-là étaient d’un autre calibre que sa génitrice... alors pourquoi ne pas les attirer dans le piège tordu de son frère ! On verrait bien ce qu’ il en ressortirait !
    
    Et évidemment, attendant que le jeune homme ait pris une certaine avance sur elles deux, elles se mirent à le suivre, faisant un grand détour par les dunes derrière la plage pour éviter la zone nudiste ! Elles arrivèrent non loin de la petite clairière, bien à l’abri entre dunes et pins parasols, où se trouvaient les barrières de bois, lieu de perdition pour femmes très chaudes et maris candaulistes !
    
    Cachées derrière les buissons, les deux femmes avaient une vue intégrale sur la débauche de leur amie. Cécile n’aurait jamais cru voir sa copine Sabine à poil, cuisses écartées, cul offert, attachée par les poignets à la barrière, tandis que le premier d’un groupe de 10 hommes nus, la bite dressée, posait un préservatif sur son sexe, pour ensuite prendre position derrière la femme entravée. Il lui caressa les seins et posa une ...
    ... main sur une hanche, et amena son sexe contre la vulve de la belle prisonnière. Celle-ci se tortilla pour aider le jeune à assurer sa prise... et la bite disparut entre les cuisses de Sabine. Le jeune commença à défoncer Sabine, tandis que celle-ci serrait les lèvres, le visage rougi.
    
    En grand organisateur de la petite sauterie, Franck comprit que sa mère se retenait de gémir sous les assauts du mâle. Alors s’approchant de sa tête, tout en lui mettant la main sur le pubis il lui dit :
    
    — Te retiens pas maman. Jouis. Tout le monde est là pour que tu prennes ton pied... que tu te sentes bien !
    
    Alors, comme libérée, sabine éructa une longue plainte de plaisir et se lança dans de longs ahanements, entrecoupés de petits couinements.
    
    Depuis leur cachette, Cécile et sa nièce Clémence n’en revenaient pas de voir leur amie frigide et coincée au possible, se faire prendre par la chatte, par tous ces hommes, avides de sexe.
    
    Quand le premier se retira assez vite, le gros homme vint se faire "payer sa dette". Il était très "professionnel" et endurant. Alternant douceur et violence du pilonnage sexuel, il variait les angles de sa pénétration, relevant une jambe de Sabine, la prenant de côté. Sabine, réceptive aux intentions du mec, n’en pouvait plus de jouir. Elle se surprit à utiliser des mots salaces inconnus de son vocabulaire :
    
    — Oh oui, c’est trop bon... ooouuuuuiiii ! Vas-y défonce moi. Elle est trop bonne ta queue ! Ouiiiiii ! Plus vite maintenant. Tu me faaaiiiiis ...
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